La démarche

L’idée est, par une approche artistique et sociologique, autant sur le plan social que sociétal, de questionner les vanités contemporaines, le caractère éphémère des choses, voire la futilité des préoccupations humaines.

Toute ressemblance avec des personnages ou des faits réels n'est que fortuite.

Quelques références : les vanités, les cabinets de curiosités, les ready made, Christian Boltanski, Annette Messager, Sophie Calle, Michel Blazy, Martin Paar...

samedi 24 avril 2021

Kairos, Vanité n°2106

Trouvant la genèse de son inspiration dans ce qui advient inopinément à un moment donné ou dans un souvenir opportun, Anne Hecdoth saisit au bond les situations qui l'affectent ou la touchent. Si les rebondissements semblent nous contenir, comment créer du discours en se reposant dessus ?

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Allez, que diable de l'atmosphère ! Rebondissons, Pesquet et que blobs ! (Vincent L.)

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Va chez un kinésithérapeute, assois le sur le ballon, il t'expliquera ! (Evelyne M.)
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Eh... c’est voulu la photo sur le texte ? :-) En tous cas, j’aime beaucoup le texte en lien avec la photo :-) (Laurence C.)
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C’est d’la balle ! (Juliette V.)
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Musculation passive ? (Hélène F.)
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Ah ! Ce référentiel bondissant d'un bleu que Klein n'aurait pu renier. Une vision d'artiste qui appelle au farniente. Un été reposant en perspective dans cet état propice à saisir le changement, la bascule, la métamorphose ! Vanité, quand tu nous tiens ! (Thierry P.)
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Une affaire de boulistes votre truc. (Sébastien M.)
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Ah ! Si Dieu Kronos pouvait arrêter le temps, on pourrait se faire reposer la planète bleue dans votre hamac, elle en a tant besoin ! (Luc P.)
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"La Terre est bleue comme une orange." - Paul Eluard (Marie-France D.)
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En dormant sur le hamac. (Sophaïe M.)
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lundi 12 avril 2021

Attention travaux, Vanité n°2105

Pourvue d'une impressionnante polyvalence attribuable aux très nombreux métiers qu'elle a exercés dans plusieurs domaines et s'emparant de techniques stratégiques issues de son extraordinaire carrière, Anne Hecdoth développe une œuvre divertissante et poétique qui met en forme des processus de pensée avec des configurations inattendues qui servent son engagement artistique pour lequel elle impose la recherche comme méthode et génère un langage formellement multiple, varié et souvent imprévisible donnant à son activité un aspect très pointu. Comment caractériser en une seule phrase le professionnalisme en art ?


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Ce trialogue de sourds s'impose tel un silence étouffant. De ceux qui jasent – ouf ! – à ce qui jazze – hélas !
Comme ce qui mite dans le mythe de la caverne, la caméra creuse ici les reflets d'un trou noir sonore émis le discours aveugle des hommes.
Mais, nous, sommes-nous plus près de Platon que de Godard Jean-Luc – chez qui le bruit saturant induit le silence le plus aveuglant –  ?
Et puis que chacune, chacun se dé… brouille avec tout cela ! Je n'ai rien d'autre à déclarer.
Allez ! En avant pour 'un meilleur avril' (où enfin le rouge et le noir ne s'épouserait-il pas).
Bise. (Vincent L.)
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- vêtu d’une veste polairE bleu marine (ou bien, tout simplement : vêtu d’une polaire marine)
- (plutôt) campagne de com’
Je dis ça, je dis rien. Grosses bises. (Christian C.)
PS: 1re injection Pfizer hier soir pour moi, 1re injection Astra ce matin pour Laurent (à St-J.-de-Luz).
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Comme chez moi et pour 5 mois ! Cordialement. (Frédérique P.)
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Le lard ? Un scandale inqualifiable ! (Juliette V.)
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C'est pas bien de filmer les gens derrière ses rideaux. (Luc P.)
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Par cette jolie phrase ! Bisous de tous les M. ! (Sophaïe M.)
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jeudi 1 avril 2021

Rosse est la vie, Vanité n°2104

D'abord Anne Hecdoth se bidonne sur les bords et se marre sans remords. Or, comme en son for elle reporte d'ordinaire ses efforts et s'accorde souvent un moratoire, cet immobilisme comique s'arrête communément en queue de poisson morose qui en a marre, à bout... Comment élaborer une amorce humoristique de farce avec force dont la portée morale se morcelle et se métamorphose encore en ficelle (de ch'val) ?

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Extra !!!!!!!!!! (Bernard T.)
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Toujours le sens de l'humour 😉 Joyeuses Pâques 🐰🐔🐣 (Sophaïe M.)

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Sûr que la vie est rosse et donc pas toujours rose, surtout en ce moment, sauf pour ce poisson qui a la chance de vivre en plein air, sans être obligé d'être coincé dans le milieu confiné de la flotte ! (Pierre B.)

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… et peu rose est l'avril… tout en queue de poisson…
Belles Pâques… même aux 'calanques' grecques ! (Vincent L.)
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Procrastination peut-être mais production artistique tout de même ! (Hélène F-C.)
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Un Poisson ! Mon Royaume pour un Poisson (d’avril) ! 🦈 (Marie-France D.)
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On pourrait y voir une allitération en queue de poisson, non pas de Momo, mais de la Rrose à Marcel ! (Luc P.)
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Pour information, selon l'éminent bibliophage Lemice-Terrieux : Le nom choisi évoque la phrase "Éros, c'est la vie" : Duchamp affirme également qu'il a choisi le nom "Sélavy" pour sa sonorité juive. Le double r du prénom évoque, lui, le double Ll commençant certains patronymes gallois, comme dans "Lloyd". La première fois qu'apparaît cette nouvelle signature, c'est dans la revue de Francis Picabia intitulée 391, et plus précisément dans le supplément illustré de celle-ci, Le Pilhaou-Thibaou. Duchamp signe également "Rrose Sélavy" une série d'étranges calembours contrepétriques, par exemple : "Conseil d'hygiène intime : il faut mettre la moelle de l'épée dans le poil de l'aimée." (Vincent L.)
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Aïe, aïe, aïe! Mais oui c’est vrai, j’ai procrastiné Anne Hecdoth ! (Juliette V.)
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