La démarche

L’idée est, par une approche artistique et sociologique, autant sur le plan social que sociétal, de questionner les vanités contemporaines, le caractère éphémère des choses, voire la futilité des préoccupations humaines.

Toute ressemblance avec des personnages ou des faits réels n'est que fortuite.

Quelques références : les vanités, les cabinets de curiosités, les ready made, Christian Boltanski, Annette Messager, Sophie Calle, Michel Blazy, Martin Paar...

mardi 28 décembre 2021

Dichotomie, Vanité n°2111

Alors que la vague épidémique progresse mais ralentit, Anne Hecdoth (qui est toujours Charlie) s'offre le luxe d'un cliché sans tomber dans le panneau du cliché triomphant de l'industrie culturelle sur le culte industriel pour souhaiter à chacun une nouvelle année sensationnelle et riche de sens, ne ressemblant à aucune autre pareille. Si Brest c'est Byzance, comment diversifier le bazar des tendances plurielles qui façonnent l'espérance d'un futur souk singulier ?

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MERVO & BRACI. Que je t’aime, euh, que je t’aime. Ce n’est qu’à toi qu’en revient le mérite.
(…) Il pleut dans ma mémoire Je crois ne pleure pas Attends, je sais des histoires
Mais il fait un peu froid ce soir !… (Christian C.)
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Ne pas confondre espace industriel d'art et espèce d'industriel.le d'art. Et surtout ne jamais jouer le Tanguy dans la verdure ! Bonne fin d'an 2 PC. (Vincent L.)
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"Brest même", ma ville. Mais que fais-tu donc aux capu ??? (Pascale B.)
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J'aimais bien danser le cha cha cha. (Luc P.)
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Une sensationnelle Nouvelle Année! (Nella A.)
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Bonne Année avec ma petite production :
Bises (Cathy P.)
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Ah mais c’est chouette de te voir ainsi ! Bonne année cousine ! (Laurence C.)
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Tonnerrrrrrrreee de Bressst !!! Mais c'est ma célèbre Homonyme en photo ! Quel style (comme d'hab'...) ! (Odile V.)
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Belle et douce année à toi dame l'idole ! (Delphine F.)
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Bon passage à 2022 (Sofaille)
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mercredi 21 juillet 2021

Pass, Vanité n°2110

En vantant sans se taire sa forme olympienne passant dans les tuyaux sanitaires des passages pas si sages, Anne Hecdoth tête en l'air passe partout et fait passer ses pensées vacataires sur la mémétique olympique qui est aux bébés tiques ce qu'un pape éthique pathétique est aux passoires en terre. Alors, si c'est déjà dans les tuyaux et que les jeux sont faits, pourquoi le temps passe-t-il plus vite en vieillissant ?

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Parole de vieux fumiste : c'est avec les vieux tuyaux que l'on fait les meilleures pipes. Au propre, bien sûr, figurez-vous. (Vincent L.)
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Faudrait-il y percevoir un style "pompier"? J'en demeure bouche bée ! Le sapeur de service (Thierry P.)
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Un vrai tour de passepasse ! (Juliette V.)
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Même si je ne te réponds pas souvent, je suis toujours très impressionnée par la magie de tes mots ! En espérant que vous allez bien. Un petit coucou affectueux (Chantal B.)
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Gloire aux tuyaux ! Sans eux notre vie serait bouchée. (Luc P.)
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dimanche 20 juin 2021

Apophtegme, Vanité n°2109

Ne pratiquant pratiquement plus l'accolade collante collant un écho logique à l'écologie culturelle en forme d'économie de moyens moyens entrant en transes et en résonance avec la raison sans raison, Anne Hecdoth répercute ses antanaclases comme un lancé de cailloux plats dans l'eau lyophilisée diluée. A force d'enfoncer par ricochets les riches loquets des ouvertures ouvertes, comment est-ce possible que ce ne soit pas possible ?

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Merci pour ce très beau texte antanaclastique et son explication critique... Merci pour cette belle image très Willem Kooningienne ! (Hélène F.-C.)
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L’apoph bêt ! … (Juliette V.)
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Merci de m’effacer de la mailing list. Bon dimanche ! (Gérard G.)
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C'est la clas(s)e, Atanase ! (Vincent L.)
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Bijou, caillou, chou, genou, hibou, joujou, pou, jetez tout, ça ricoche.
(Pascual E.)
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Je n'ai pas compris... C'est vrai que je vis avec des bêtes ! (Thierry B.)
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Persévère cousine, pour ma joie de te lire :-) lire, délire, délier, relire... voire écrire :-) (Laurence C.)
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A la vision apparue de cette nature morte, sentence ou texte mémorable, le vers dicte :
Alors qu'Anselme sème, ce cheminot qui mène une vie duraille, indécis delà, trouve que le dur dure alors que le mou tarde. Contemplant l'œuvre, le machiniste se penche vers moi, s'épanche à mon oreille : dix dirhams.
Je lui dis : "Rame !" (Thierry P.)
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Trop compliqué pour moi ! (Pascale C.)
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Je constate les effets secondaires de ce voile invisible qui nous surveille pour mieux nous atteindre. (Luc P.)
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dimanche 23 mai 2021

Think tank, Vanité n°2108

Après avoir commencé un sans faute sens dessus dessous, Anne Hecdoth consent consciencieusement à ressentir une concupiscence essentielle à sa vacance en créant le think tank intense InfluenceRéjouissances. La puissance de son existence embrasse celle des sujets sensibles d'essence dansante dans le silence des accointances sans consistance. Si elle recense en permanence par tous les sens et dans tous les sens un ensemble de dissensions sensuelles sur l'absence imperceptible de sens dans un souci de se dispenser des contresens, que penser ?

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Mais, pour finir, que composte-t-elle ?! (Vincent L.)
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Merci de stopper l’envoi de ces mails public chéri mon amour. Cdlt. (Gérard G.)
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Biniou ou cornemuse ? Anne, de souche écossaise, nous décevrait grandement avec un biniou à  chapeau rond... qu'aux quilles, seins jaques ou non... À défaut de contresens, je crains la boulette... (Heurv')
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Essence dansante #CestdLaPoesie
Si si ! Bisous Dame Rouge Papillon (Delphine F.)
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Je suis, hélas, en panne des sens. (Luc P.)
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Ah ! Que c'est drôle ces tuyaux de biniou comme un point d'orgue pour quelqu'un qui voudrait jouer des flûtes en prenant ses bâtons de marche pour des instruments à vent. Un remède pour les cors, probablement ! Buon camino, mi amigo ! (Thierry P.)
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Je suis bien d'accord avec le titre. Cela ne m'inspire pas du tout... Et vous ? Que pratiquez vous comme art ? A bientôt (Patrick J.)
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mardi 11 mai 2021

Double Mutant, Vanité n°2107

En étalant ostensiblement la subtilité de ses tirades incongrues tout en se concentrant sur des idées aux variants à identifier, Anne Hecdoth enfonce les portes ouvertes d’une pièce désopilante où l’absurde joue des coudes pour sortir d'une cachette à double tranchant comme autant de chemins qui ne mènent à rien, autant de scènes dans lesquelles les doubles sens redoublent de prudence sans sembler se censurer significativement dans un contexte sanitaire particulièrement difficile. Si aucune étude sur les doublures n'a été conduite, que savons-nous de la mutation des matassins et de son effet sur l'opinion ?

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Peut-être risquerai-je une spéculation spéculaire… sans Spéculoos cette fois, ayant vidé les lieux depuis longtemps. Cet humanoïde mirobolant évoque effectivement ces mutants sans gène ‑ et donc sans plaisir(s) - qui nous empestent de plus en plus l'existant. Mais comment s'en débarrasser sans rompre la glace de la dernière banquise galactique ? Mais ouf, Anne H. fait un carton… et nous voilà revenus à nos jeux d'enfants emmi les vracs d'emballages où nous pouvions, tout petits, satisfaire nos plaisirs de cache-cache et, un peu plus tard, de décache-sexe au fond d'une discrète remise et dans le dos des parents. Mais tout artiste signe son œuvre, d'une manière ou d'une autre, et j'aime ici cet ostensible H, comme Hecdoth, qui en fait ici la petite reine dans son art, sans pour autant faire la roue et pédaler dans l'allégorie, et, de plus, dans un bien bel polystyrène (impensé ?). Mais trêve de matassinerie ! (Vincent L.)
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C’est vachement bien tes élucubrations, chère grande petite cousine ! (Olivier C.)
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Plagiat (mutation)
Humilité, Humilité, quand tu nous lâches, on peut bien dire "adieu prudence". (Luc P.)
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Mais où as-tu dégoté cette photo ? J’aime ton style d’écriture !
Je rajoute que, en aucun cas, cette facette s’apparenterait à Celui qui est la Lumière et qui retourne vers son Père en cette fête de l’Ascension (demain). Qu’Il soit remercié pour ce nouveau commencement (pléonasme) où nous sommes à la fois introduits avec Lui, en Lui, auprès du Père, et dépositaires de l’Esprit qu’Il nous envoie, source de notre vitalité à partager. C’était la séquence éveil religieux ! Bisous bisous (Laurence C.)
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Je ne sais pas qui vous êtes car même sur votre blog vous ne vous présentez pas, mais je vous ai demandé plusieurs fois de me retirer de votre liste à laquelle je ne me suis jamais abonné.
Merci de respecter le choix des autres. (Christophe D.)
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Au prisme du regard du Cyclop, oeuvre de Jean Tinguely & Co, variant mutant de l'éphèbe au corps de cristal, ces quelques mots de Laura Duke, fille de Niki de Saint Phalle : "Et ne pas oublier l'autodépiédestalisation !" (Thierry P.)
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samedi 24 avril 2021

Kairos, Vanité n°2106

Trouvant la genèse de son inspiration dans ce qui advient inopinément à un moment donné ou dans un souvenir opportun, Anne Hecdoth saisit au bond les situations qui l'affectent ou la touchent. Si les rebondissements semblent nous contenir, comment créer du discours en se reposant dessus ?

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Allez, que diable de l'atmosphère ! Rebondissons, Pesquet et que blobs ! (Vincent L.)

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Va chez un kinésithérapeute, assois le sur le ballon, il t'expliquera ! (Evelyne M.)
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Eh... c’est voulu la photo sur le texte ? :-) En tous cas, j’aime beaucoup le texte en lien avec la photo :-) (Laurence C.)
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C’est d’la balle ! (Juliette V.)
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Musculation passive ? (Hélène F.)
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Ah ! Ce référentiel bondissant d'un bleu que Klein n'aurait pu renier. Une vision d'artiste qui appelle au farniente. Un été reposant en perspective dans cet état propice à saisir le changement, la bascule, la métamorphose ! Vanité, quand tu nous tiens ! (Thierry P.)
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Une affaire de boulistes votre truc. (Sébastien M.)
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Ah ! Si Dieu Kronos pouvait arrêter le temps, on pourrait se faire reposer la planète bleue dans votre hamac, elle en a tant besoin ! (Luc P.)
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"La Terre est bleue comme une orange." - Paul Eluard (Marie-France D.)
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En dormant sur le hamac. (Sophaïe M.)
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lundi 12 avril 2021

Attention travaux, Vanité n°2105

Pourvue d'une impressionnante polyvalence attribuable aux très nombreux métiers qu'elle a exercés dans plusieurs domaines et s'emparant de techniques stratégiques issues de son extraordinaire carrière, Anne Hecdoth développe une œuvre divertissante et poétique qui met en forme des processus de pensée avec des configurations inattendues qui servent son engagement artistique pour lequel elle impose la recherche comme méthode et génère un langage formellement multiple, varié et souvent imprévisible donnant à son activité un aspect très pointu. Comment caractériser en une seule phrase le professionnalisme en art ?


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Ce trialogue de sourds s'impose tel un silence étouffant. De ceux qui jasent – ouf ! – à ce qui jazze – hélas !
Comme ce qui mite dans le mythe de la caverne, la caméra creuse ici les reflets d'un trou noir sonore émis le discours aveugle des hommes.
Mais, nous, sommes-nous plus près de Platon que de Godard Jean-Luc – chez qui le bruit saturant induit le silence le plus aveuglant –  ?
Et puis que chacune, chacun se dé… brouille avec tout cela ! Je n'ai rien d'autre à déclarer.
Allez ! En avant pour 'un meilleur avril' (où enfin le rouge et le noir ne s'épouserait-il pas).
Bise. (Vincent L.)
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- vêtu d’une veste polairE bleu marine (ou bien, tout simplement : vêtu d’une polaire marine)
- (plutôt) campagne de com’
Je dis ça, je dis rien. Grosses bises. (Christian C.)
PS: 1re injection Pfizer hier soir pour moi, 1re injection Astra ce matin pour Laurent (à St-J.-de-Luz).
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Comme chez moi et pour 5 mois ! Cordialement. (Frédérique P.)
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Le lard ? Un scandale inqualifiable ! (Juliette V.)
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C'est pas bien de filmer les gens derrière ses rideaux. (Luc P.)
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Par cette jolie phrase ! Bisous de tous les M. ! (Sophaïe M.)
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jeudi 1 avril 2021

Rosse est la vie, Vanité n°2104

D'abord Anne Hecdoth se bidonne sur les bords et se marre sans remords. Or, comme en son for elle reporte d'ordinaire ses efforts et s'accorde souvent un moratoire, cet immobilisme comique s'arrête communément en queue de poisson morose qui en a marre, à bout... Comment élaborer une amorce humoristique de farce avec force dont la portée morale se morcelle et se métamorphose encore en ficelle (de ch'val) ?

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Extra !!!!!!!!!! (Bernard T.)
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Toujours le sens de l'humour 😉 Joyeuses Pâques 🐰🐔🐣 (Sophaïe M.)

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Sûr que la vie est rosse et donc pas toujours rose, surtout en ce moment, sauf pour ce poisson qui a la chance de vivre en plein air, sans être obligé d'être coincé dans le milieu confiné de la flotte ! (Pierre B.)

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… et peu rose est l'avril… tout en queue de poisson…
Belles Pâques… même aux 'calanques' grecques ! (Vincent L.)
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Procrastination peut-être mais production artistique tout de même ! (Hélène F-C.)
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Un Poisson ! Mon Royaume pour un Poisson (d’avril) ! 🦈 (Marie-France D.)
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On pourrait y voir une allitération en queue de poisson, non pas de Momo, mais de la Rrose à Marcel ! (Luc P.)
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Pour information, selon l'éminent bibliophage Lemice-Terrieux : Le nom choisi évoque la phrase "Éros, c'est la vie" : Duchamp affirme également qu'il a choisi le nom "Sélavy" pour sa sonorité juive. Le double r du prénom évoque, lui, le double Ll commençant certains patronymes gallois, comme dans "Lloyd". La première fois qu'apparaît cette nouvelle signature, c'est dans la revue de Francis Picabia intitulée 391, et plus précisément dans le supplément illustré de celle-ci, Le Pilhaou-Thibaou. Duchamp signe également "Rrose Sélavy" une série d'étranges calembours contrepétriques, par exemple : "Conseil d'hygiène intime : il faut mettre la moelle de l'épée dans le poil de l'aimée." (Vincent L.)
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Aïe, aïe, aïe! Mais oui c’est vrai, j’ai procrastiné Anne Hecdoth ! (Juliette V.)
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mardi 16 mars 2021

Storytelling, Vanité n°2103

Méthodiquement connectée, Anne Hecdoth se laisse mener vers des systèmes dissipatifs, là où ses pérégrinations hodologiques lui donnent accessoirement accès aux diverses convergences. De quoi parlait-on avant d'aller dans le mur ?

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Y’a quand même quèque chose qui cloche. (Juliette V.)
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Dans une vie antérieure, on agitait les mouchoirs, en écoutant les sons de cloche. (Marie-France D.)
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Attention, pris dans des relents d'alcools, qui n'ont rien d'apollinarien, et dans l'ivresse d'un pouvoir bien réel, macron(anti)biotique, trumpétueux ou autres*, de néanmoins veiller, en fonçant droit dedans et dans la neige de l'enfumage carbonique et médiatique généralisé, à éviter un destin fatal à nos progénitures qui cheminent aussi en cette voie et qui ont encore le droit de rêver, pour un temps futur qui leur appartient, d'une terre où il ferait (encore) bon vivre.
Ci-dessous, cas de figure de ce que l'on peut trouver inopinément devant soi en pareil dévoiement et circonstance, quand, pas même grotesquement ou goyesquement, le sommeil de la raison engendre des monstruosités planétaires. Merci à l'illustrateur Alphonse Allais de son aimable collaboration pour son 'Carré blanc' prophétique.
Allez, bonne journée autant que faire se peut… et à repasser !  (Vincent L.)
* Pour certains de ces autres, par ex., c'est Bolsonaro ou la vie !

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J’adore cette vanité-là et je renonce à aller dans le mur. Merci.
Je t’embrasse aléatoirement dans l’embrasure de cette porte ouverte. (Hélène F.-C.)
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MAGNIFIQUE ! (Rémi T.)
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samedi 13 février 2021

5G, Vanité n°2102

En égérie gênée par les préjugés sur la gestion du danger, Anne Hecdoth s'est chargée avec génie et générosité de déranger les projets légers n'ayant toujours pas émergé mais qui se généralisent pour interroger la géolocalisation quand le géant Orange est délogé et dirigé vers un point gérant la gégène messagère singée. Pourquoi héberger si l'on n'est pas engagé à échanger et changer la tête âgée ?

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Ah mais c’est G-nan ! Mais chère Anne, je ne sais plus comment on fait pour faire partie de votre public privilégié...
Belles chaussettes Ben trouées ! (Juliette V.)
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Il me semble que "le géant Orange délogé" s’agit d'un monstre en Floride non mentionné. (Jean-Christian R.)
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Horrible ! Vous devriez avoir honte, un trou de chaussette ! C'est à gerber !(Harry J.)
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Puis-je t’apprendre à repriser les chaussettes ? (Hélène F.-C.)
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Enspammé qu'il a été le message d'annonce ; je le découvre seulement. Désolé. Mais franchement, vu l'état des socques en loques, il serait temps d'abandonner le sans fil, de ravauder bien vite ou, nec plus ultra, de se doter d'une robuste Singer pour se refaire un look sans attendre un futur G7. (Vincent L.)
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vendredi 29 janvier 2021

Détricotage réfléchi, Vanité n°2101

Archi-affranchie des archives du temps et de l’espace psychique tout en réfutant d'instrumentaliser le bouton rouge qui saute du coca light rafraîchi, Anne Hecdoth chipote sans chichi sur sa manière d’appréhender le leadership consumériste dont le contenu chimique serait du gâchis. En cas d'épidémie de pétéchie, pourquoi chicaner sur les chiffons chimériques ?

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Oh, qu'il eût été pertinent d'y ajouter une touche de ce magnifique agent orange, symbole (plus que !) de l'American way of mourir [loin du Vietnam ?], me souffle mon ami Mwa'Pa, en contrepoint à la subtile analyse de votre fumeux critique J. Croix. Ceci dit, bel ouvrage, Madame ! (Vincent L.)
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Il m'étonne que tu connaisses pète et chie, mais ce qui me troue le cul, pour le coup, c’est comment tu peux respirer avec ces chiffons trop épais ? (Jean-Christian R.)
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A quand ton travail publié ? A ma question j'y inclus ton grand critique et historien d'art, bien évidemment ! Tes vanités sont triptyques ! Lance-toi bordel, lancez-vous "Dame rouge pap" ! (Delphine F.)
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À bouche que veux-tu, chantait hier le groupe Brigitte !
https://www.youtube.com/watch?v=lbLMABnJ7Vc
The Times They Are A-Changin, chantait Bob Dylan en contestation contre l'ordre établi : https://youtu.be/90WD_ats6eE
Aujourd'hui,  on déchante : "À bouche cousue" ! (Thierry P.)
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Un problème temporaire est survenu lors de la distribution de votre message à Antoine D.
D'autres tentatives vont être effectuées pendant 45 heures. Vous recevrez une notification si l'échec est permanent.
The email account that you tried to reach is over quota. Please direct the recipient to https://support.google.com
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P.S. Mille excuses pour le 'fUmeux' : daltonien, j'ai confondu le A, non point noir mais rouge* et le U vert !
* Petite divergence de vue avec Arthur
(Vincent L.)
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Tous ces chichis sont des effets secondaires de votre séjour dans le Nooord ! ça m'coupe eul chique ! (Luc P.)
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"Sauter du coca light", fallait l'trouver, Anne l'a fait ! (Odile C.)
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Merci Odile !... Excellents contrastes !... Beijinhos (Nela A.)
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