Pas
trop mal en point. Ni très ponctuelle. Mais toujours pointilleuse.
Anne Hecdoth se fait un point d'honneur de pointer un sujet pointu :
faire le point sur le point. Violemment attaqué, surtout quand il
est peint en rouge, par les candidates d'un certain parti d'extrême
droite au point que nous devons absolument l'empêcher de se pointer,
alors que nous savons tous qu'une droite extrême n'est qu'une
infinité de points juxtaposés empruntant le plus court chemin entre
deux points, il est polysémique et plurivoque en tout point !
Un point rouge donc. Ou un trou. Rouge. Stigmatique comme un impact
de balle... Ou deux. On pense au dormeur du val et ses « deux
trous rouges au côté droit ». Ce n'est pas un bobo : le
point tue quand il est rouge. Il dérange la pensée unique et
inculte au risque de dé-subventionner la création artistique.
Alors ! Feu vert aux points rouges !
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Point rouge
"…il en faut toujours un. Quand il y en a un ça va… C'est quand il y en a beaucoup qu'il y a des problèmes". Ce 5 septembre 2009, "il" (B.H. pour mémoire) parlait sans doute déjà des points rouges… Serait-ce les nappes à pois qui poseraient problème ? (Benoit D.)
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C'est drôle, j'ai lu Le Dormeur du val il y a peu. (Marie M.)
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Les idées courtes ne méritent que le Trou Noir. (Luc P.)
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J’aime ;-) (Sophaïlle M.)
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Curieuse soupe populiste ! Ferait-elle aussi allusion à la gidouille du Père Ubu ? (Vincent L.)
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Merci beaucoup pour tous tes envois toujours à point et au point et même pointus. (Jean-Pierre C.)
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Un point c'est tout ? (Heurv')
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Les points verts sont ils des câpres ? La mélasse verte est elle de la purée de pois ? (Michel F.)
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Bleu, à point ou saignant... une préférence ? (Marc V.)
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Des points dans la soupe... (Hécate)
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