La démarche

L’idée est, par une approche artistique et sociologique, autant sur le plan social que sociétal, de questionner les vanités contemporaines, le caractère éphémère des choses, voire la futilité des préoccupations humaines.

Toute ressemblance avec des personnages ou des faits réels n'est que fortuite.

Quelques références : les vanités, les cabinets de curiosités, les ready made, Christian Boltanski, Annette Messager, Sophie Calle, Michel Blazy, Martin Paar...

vendredi 26 décembre 2014

Pile ou face, Vanité n°1428

Tout en spéculant sur l'eccéité d'une contrefaçon interchangeable, Anne Hecdoth qui a passé une année tout à fait ordinaire et qui remercie ses amis d'y avoir contribué, feint de se pencher avec curiosité sur le retournement des choses et opère méthodiquement sur le registre de l'absurde pour questionner le faux pouvoir supposé d'une érudition simulée sur l'objet de sa réflexion. Si ce n'est pas sérieux, pourquoi la zététique se hasarde-t-elle en démarche artistique quand on s'aime ?
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Je suis absent du 20 décembre au 4 janvier. Je vous souhaite à tous de très heureuses fêtes de fin d'année, en attendant le plaisir de vous retrouver en 2015 pour de nouvelles aventures ! (François L.)
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Je suis absent du 24/12/2014 au 02/01/2015. En cas d'urgence, merci de contacter le service E de la ML. (David-Emmanuel L.)
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Je suis en congés jusqu'au 4 janvier inclus. Je reprendrai contact avec vous dès mon retour. (Mélanie L.)
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Je suis absent sans accès à mes emails. Pour toute demande concernant LGE, vous pouvez contacter Tony (Philippe B.)
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Actuellement absent, je prendrai connaissance de votre message à partir du 5 janvier 2015. En vous souhaitant de belles fêtes, (Olivier C.)
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Je suis présent et puis cliquer sur "répondre" : tout taf est or, dit Nérée ? Eh bien, bonne fin d'année de fêtes zutiques. (Marc V.)
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G pile dans face de bouc ! J Croix pas ! (Juliette C.)
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Ni pile, ni face, il n'y a simplement pas de pièce (jointe). (Hervé C.)
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Renversant ! Du Vécu de la mercerie ambulante au Post vécu de Gertrude. (la mère-ci-erre)
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Bonne Année, pour toute la famille ! Nous sommes à Luanda et la plage c'est super ! Beijinhos (Nela, Luís e Bárbara)
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Ah ! Anne-Marie Charbonneau et le 'retournement des choses'…, ça ne nous rajeunit décidément pas ! Mais, bon an, mal an, on en prend son parti (pris)… Et qu'on s'aime à tout vent, bon an, mal an ! Mais NdD, que traversant l'avenue, ça décoiffe ! Bon…, à toutes et à toutes. (Vincent L.)
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Bonne année à toi aussi ! (Sabine L.)
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(Sophaille)
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lundi 1 décembre 2014

Quiproquo, Vanité n°1427

Considérant que la force d'une oeuvre d'art est liée à la proportion de l'état de sidération dans lequel elle plonge le regardeur fâcheusement abusé par le bisounoursisme ambiant et la flaccidité de l'art pour faire joli alors que la démarche de l'artiste contemporain étiqueté provocateur est justement de provoquer l'ouverture d'un regard atteint de cécité sélective sur une réalité déniée, Anne Hecdoth concède que la-dite oeuvre puisse être réceptionnée comme une violence qui lui est faite et, en conséquence, opérer sur lui une anesthésie émotionnelle au point de lui faire dire, outré mais bêtement, que c'est de la daube. Si l'art est une claque, pourquoi n'y a-t-il aucune loi pour en interdire son enseignement ?

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Il est IN-TER-DIT d'interdire, a-t-on encore et toujours la volition lasse de s'époumoner dès le potron-jaquet. Même aux escrocs ? Même aux escrocs. (Christian C.)
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Zut, j'ai loupé ça et le replay n'est pas sous-titré ! Pfffff... Quelqu'un a une solution ? http://www.canalplus.fr/c-divertissement/c-le-grand-journal/pid5411-le-grand-journal.html?vid=1173000 (Odile C.)
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Ourquoi, ourquoi onc, ma chère ? … Pasce que dans not' ociété, l'art naque. Na ! (Vincent L.)
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Oui mais enfin... si on n'a plus qu'une claque tous les 15 jours, c'est acceptable... (:-)eurv')
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Désolée de vous demander d'arrêter vos envois de mail, mais François G. est décédé. (François G.)
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Votre biberon est-il à moitié plein ou à moitié vide? En tout cas il vous manque quelques pièces. (Juliette C.)
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Quand l'oeuvre artistique relève du figuratif, elle absorbe l'observateur, qui aime ou n'aime pas : cela dépend des goûts. Quand elle ne représente rien de concret, elle interpelle l'observateur, qui doit chercher une interprétation dans ses souvenirs : cela peut être apaisant, euphorisant, surprenant ou douloureux. L'art n'est pas toujours une claque ; il est aimé ou détesté, parce que compris, ou incompris, ou encore interprété. (Evelyne M.)
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Comme dit mon oncle Henri Pourrat dit aussi En Rat Pourri, "Une bonne daube vaudra toujours les plus belles œuvres d'Art." (Sébastien M.)
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Comme un bon vin, l'art du vain demande à prendre de la bouteille. Qu'en restera-t-il dans les années à venir ? Que dirait un bon devin ? (Hécate)
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