La démarche

L’idée est, par une approche artistique et sociologique, autant sur le plan social que sociétal, de questionner les vanités contemporaines, le caractère éphémère des choses, voire la futilité des préoccupations humaines.

Toute ressemblance avec des personnages ou des faits réels n'est que fortuite.

Quelques références : les vanités, les cabinets de curiosités, les ready made, Christian Boltanski, Annette Messager, Sophie Calle, Michel Blazy, Martin Paar...

mardi 30 avril 2019

Contrail, Vanité n°1911


Affolée par les effets de mode des défilés futiles et par l'enflure de l'ochlocratie, Anne Hecdoth profite de l'opportunité numérique pour faire des ponts entre les faits nébuleux impossibles à contenir afin de faire remonter à la surface inconsistante de son indicible fouillis cognitif tous les indices d'une société progressivement déliquescente et trouver un bon filon pour dénicher les fantasmes des gens sans se fouler.
Si l'art socio-économico-politique monopolistique n'est plus adapté, comment se défiler en profondeur ?
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J'adore ! Hélas le terme "ochlocratie" me semble être méconnu de l'ensemble des gens qui la réclament ... sans le savoir ! (Dominique P.)
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Bien content d'avoir appris ce mot ! (Christian C.)
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Merci le dico ! L'ochlocratie est donc aussi floue que les contrails...et "quand c'est flou, c'est qu'y a un loup". Citation d'une buveuse de bière du Nord. (Luc M.)
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Attention ! Un avion peut en cacher un autre. Anne Hecdoth, reporter en contre-plongée, immortalise l’écume des jours.
Plongée dans le texte. Qu'est-ce qui est le plus affolant, la foule revendicatrice ou les groupuscules offensifs ? Mais cette foule est-elle vraiment "foule", n'est-elle pas plutôt "organisation" ? Amas d'organisations diverses dont les demandes convergent, à partir de chemins très différents, vers un seul but, celui de dénoncer les injustices perpétrées par un très faible pourcentage de la population qui détient un très fort pourcentage des richesses et qui impose sa volonté.
Au sein de chacune de ces organisations de tout bord, les individus communiquent, interagissent et donc créent des liens. Il est bien évident que là le processus en jeu exclut l'anonymat et la dépersonnalisation des phénomènes de masse, des mouvements de foule. Ces groupes ont conscience des enjeux, la foule, elle, est inconsciente. De ce fait, je parlerai plutôt et tout simplement de démocratie participative. (Philippe F.)
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mardi 9 avril 2019

Polémique, Vanité n°1910


Experte en rien mais ayant un avis sur tout, Anne Hecdoth enfonce le clou et se pointe là où on ne l’attend plus. Que l’heure soit celle d’été ou celle de vérité, celle de la restitution ou celle de la conclusion, étant donné que la durée de nos vies s’allonge alors que celle de la planète diminue, et comme notre temps de sommeil moyen est passé en dessous de 7 heures par nuit, quand est-ce qu’on biaise ?
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Je ne suis pas joignable du vendredi 5 avril au lundi 15 avril. (Christine A.)
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Vous pouvez à tout moment, contourner, obliquer, dévier, tergiverser, louvoyer et même, simuler... (Luc P.)
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Pour une fois... j'ai tout compris 🤪 et j'ai trouvé ça génialement bien formulé. (Cécile B.)
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Cela rappelle  un peu la problématique architectes/ingénieurs, et le désarroi de l'entrepreneur pris entre les deux :
* l'ingénieur qui connait presque tout, mais sur un nombre de sujets presque égal à zéro
* l'architecte qui ne connait presque rien, mais sur une infinité de sujets
* et l'entrepreneur qui, à force de côtoyer les deux premiers pendant toute sa carrière, en arrive à ne connaitre plus rien sur aucun sujet... (Michel F.)
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On biaise dans le i après le b et avant le a, heure d'été oblige. (Yo Y.)
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Géniale celle-là, j'adore ! (Cathy ?)
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Plutôt que l'heure d'été, je préfère celle d'être ou celle d'aller. (Marc V.)
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Dis, Anne, tu m'en fais une spéciale Brexit ? C'est très très vain...
J'ai attendu ! (Virginie A.)
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Ah, j'aime bien cette vanité-là (Sophie C.)
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To be or not to be ? - Is that the question au fait ? (Anne-Marie F.)
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Avoir un avis sur tout c’est vouloir faire tout à la fois, accumuler sans intégrer, sans synthétiser. Anne Hecdoth, éternelle dilettante, voudrait peut-être qu’on lui dise de se poser, de n’approfondir que quelques champs seulement de la connaissance pour mieux traiter, analyser et avoir, tout compte fait, une meilleure vision d’ensemble moins… superficielle.
A l’instar d’Arman, elle veut avoir l'Heure de tous au risque de voir midi à 14 heures et de finir comme la Vénus des Arts, assujettie à l’angoisse de morcellement, de démantèlement. A vouloir, à tout prix, faire preuve d’ubiquité, partout à la fois, elle finira par perdre le fil… du temps et ne plus parvenir à faire preuve de discernement.
Que ce soit l’heure de prendre le train ou d’aller à l’Opéra, il faut le faire à temps plein mais pas en même temps.
Il y a un temps pour tout. Le temps du rêve, de La Persistance de la mémoire, moyen détourné pour s’entraîner à affronter le réel, et le temps qui nous pousse à défier la réalité, à juger au plus près, au microscope. (Philippe F.)
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mardi 19 mars 2019

Tout va bien, Vanité n°1909


Avant d’entamer l’argutie englobant plus largement le spectre de ses investigations, Anne Hecdoth sort de sa zone de confort pour s’élever vent debout vers des niveaux de sophistication contre les vents contraires et les risques d’allégations de victimisation s’incrémentant dans un état de droit à la journée de la flemme collective. Si les fake news polluent la toile, comment peut-on affirmer que l’air tue plus que le tabac et le diesel moins que l’essence ?
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Personnellement, j'hésite encore entre VTT-TV (ça roule, mec !), TVB-TV (et on passe à autre chose)… et BMFTV (Défèque-News) (Vincent S.)
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Jibi danse ? (Yannick L.)
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AH !
Je ne sais pas si le tabac tue (plus ou moins qu'autre chose) mais le tabac pue (plus que toute chose).
Rien que de lire le mot "tabac" me donne la nausée et les discours captieux et forcément clivants à son sujet me font monter des bouffées de colère - tout comme l'évocation du fauteuil de Kabelo, des gilets jaunes et de leur RIC, des quasi-faillites d'Eskom et de SAA, de la guerre en Syrie, de la crise des migrants, du Brexit, de "Trump-la-mort", des religions, du pouvoir des marques, de la bêtise humaine et de bien d'autres sujets.
Je suis donc souvent en colère et ça ne sert à rien.
J'ai fui mon coffee shop ce matin, dérangé par des fumeuses qui, selon mon analyse détaillée des calandres, n'étaient pas des voitures à moteur diesel.
Fait: les fumeuses n'avaient pas bonne mine.
- Question 1: Qui, sinon les fumeurs pré-cancéreux, réfute encore la nocivité du tabac ?
- Question 2: Qui, sinon certains fumeurs (même pas tous) réfute encore la puanteur de leurs émanations ? 
- Question 3: Pourquoi, au titre du respect (avec un sens bien perverti du terme), les non-fumeurs doivent accepter d'être enfumés, voire cancérisés, plutôt que le contraire ?
Ces questions peuvent se décliner au gré de mes sujets de colère sus-cités.
Et comme mes chers frères et sœurs (belles toutes deux!) sont tous des fumeurs, je me fais un plaisir de partager avec eux mes réflexions et émotions du jour.
PS 1 : Et à propos de jour, voilà deux nuits que, à cause de la quasi-faillite d'Eskom (notre EDF local) et des ses délestages aussi fréquents qu'intempestifs, je ne peux utiliser mon système de ventilation en pression positive continue. Je suis donc sous-oxygéné, fatigué et d'humeur fragile. Alors, on me respecte, et toc !
PS 2 : Lisez Jules Matrat de Charles Exbrayat (ce n'est pas un roman policier) en ayant bien une grosse boîte de Kleenex à portée de main. On y parle de Saint-Étienne, Marlhes et Saint-Genest-Malifaux mais ce n'est ni ce qui est intéressant ni ce qui est triste.
Voilà pour aujourd'hui ! Tout va bien, indeed ! Bises-qui-ne-sentent-pas-le-tabac. (Heurv')
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那是黑魔法traduction Google (Luc P.)
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Anne Hecdoth joue-t-elle son propre rôle ? Se tenant à l’écart de la zone de confort, véritables "canaux aliénants" qui formatent, uniformisent, modèlent nos pensées. Se soustraire de cette zone, c’est s’élever au sens figuré, se mettre debout afin de s’extirper du champ de l’aliénation.
Mais rester dans la zone de confort tout en gardant son esprit critique, décrypter les messages subliminaux, percer le mystère des enjeux humains, tout cela n’est-il pas le propre de l’Homme libre qui s’affranchit de l’aliénation en connaissance de cause ?
L’attitude d’Anne Hecdoth apparaît comme une métaphore des vanités (ou Anne est-elle la vanité dans le tableau ?), spectatrice insouciante des contingences humaines.
De la suite dans les idées… tout n’est finalement que question d’échelles, celle de l’Humanité, de la Terre, de l’Univers d’une part et celle de l’individu réalisant sa propre vie d’autre part. La première est froide, objective, exempte d’affects, régie par la pulsion de mort. La seconde, participant de l’éprouvé subjectif, est nourrie par la pulsion de vie. La faiblesse de l’Homme est ce qui fait sa force. Affronter, remettre en question, se passionner, agir permettent d’EXISTER en luttant pour contrebalancer les succès de Thanatos au quotidien à l’aide des facéties d’Eros. (Philippe F.)
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Voici que Tintin et le capitaine Haddock se lancent à la recherche d'Anne H. dans le labyrinthe.
Cent fois ils croient l'apercevoir. Elle disparaît à droite, à gauche ; chaque fois ils croient la rattraper. Las, ce n'était que son ombre ! " Mille sabords !!! Où se cache- t-elle ?".
C'est alors que surgit une étrange créature. Celle-ci leur promet son aide à condition qu'ils trouvent la réponse à l'énigme qu'elle leur propose... (Anne-Marie F.)
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lundi 4 mars 2019

Référendum, Vanité n°1908


Fatiguée de la prose prosaïque sur les avis non avertis et de l'arbitrage arbitraire des concepts et des discours sur l’interaction entre le temps et les saisons disparues, Anne Hecdoth s’obstine à observer les situations sans histoire et adapte sans complexes son regard complexe aux mouvements aléatoires d’humeur frondeuse en milieu ouvert fondé sur le dialogue mono-causal pour asseoir l’intrigue et former une énigme de couloir permettant ainsi de créer un corpus partagé ciblant les risques liés au changement d’heure ou de climat, on ne sait plus bien. Puisque les citoyens sont déjà consultés, pourquoi réclamer un RIC ?
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Faut en finir avec les RIC(H)ARDS ! (Vincent S.)
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L'heure d'été serait privilégiée, mais nul besoin d'un RIC, les français ont le chic pour le midi à quatorze heures ! (Luc P.)
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A condition que le Français (dont vous parlez) voie le midi (dont vous parlez aussi) à sa propre porte (porte dont vous ne parlez malheureusement pas), qu'elle soit ouverte ou fermée, adoptant ici une posture (me semble-t-il) dont la superbe n'est pas sans rappeler (me semble-t-il) certaines attitudes présidentielles suffisamment suffisantes. Le risque me semble ainsi pour vous de prendre celui de faire fondre la glace qui, jusqu'ici, divise le Français (dont vous parlez) en une multitude de détestations de lui-même, Français ne pouvant se souffrir qu'à la condition de ne pouvoir souffrir l'autre (ce en quoi, Dieu ne soit pas loué - ne vous semble-t-il pas ?)
La glace ainsi fondue, ne craignez-vous pas que la majorité, même ric-rac, du Français que vous savez ne se retourne contre vous ? (Bertrand P. de C.)
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https://www.dailymotion.com/video/x6kt6jo
Chacun a sa façon de faire fondre les glaçons... (Jacques D.)
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Focalisons-nous sur la photo. Que représente-t-elle ?
Un seau de peinture rempli de pavés de couleur blanchâtre et le tout sur le châssis d’un radiateur.
A y regarder de plus près, il est affaire de gros plan. Le seau n'est pas un seau, non dans le registre de "cette pipe n'est pas une pipe", mais un bocal en plastique rempli, si je ne m’abuse, de nombreux glaçons.
Que signifie donc cette association : bocal, glaçon et radiateur ?
Réchauffer des glaçons, pourquoi faire ? Les réduire en cendres, Anne, c’est impossible ! Alors pourquoi ce cendrier RICARD ? Ce bocal est donc une antiquité datant de 1932.
Dernier indice à savoir RIC, partie émergée de l'iceberg, rappelle un fait référendaire d'actualité. Y aurait-il donc un lien entre le Ricard et les gilets jaunes ?
Ah, j'ai trouvé ! L'Art et la politique doivent s'entremêler pour délier les langues à l'instar d'un bon verre de Ricard servi bien frais. (Philippe F.)
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jeudi 21 février 2019

Imminence, Vanité n°1907


Faisant mine, comme par hasard, de provoquer les apparences évanescentes de l'espace temporel par des alertes alternatives, Anne Hecdoth a le droit de se liguer contre les ligues de dérision collective chronique ! Elle a le droit de restaurer son hardware de pensées afin de répondre aux révolutions artistiques en cours ! Elle a le droit de dessiner les utopies débarrassées de la domination économique ! Elle a le droit d'inscrire dans la profondeur des temps terrestres les conséquences séquentielles de son empreinte éphémère ! Elle a le droit d'en appeler au bashing immédiat de tout système éminemment immanent comme l'arrivée triomphale précipitée d'une illustre bestiole menacée de disparition ou l'héritage d'un célèbre chat. Si les éléphants sont gris, pourquoi les vaches sont-elles bleues et les poissons rouges ?
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Les vaches bleues ??? Je connaissais les dents bleues
mais les vaches bleues... Aurais-tu fait des folies pour ta collec' ?
... ou nous ruminerais-tu quelque chose pour une prochaine Vanité ?
Bises roses (Heurv')
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Je n'ose toujours pas commenter ni ici ni sur ton blog mais j'aime ! (Valphine M.)
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Comme d'hab', impossible de laisser un commentaire, Google & Blogger réunis m'en veulent vraiment…, alors je me tais.
Excellente et cordiale après-midi à toi, 23°C chez moi ! Les aiguillettes de canard gras des Landes marinent, attendant la plancha, et le boulgour au curry patiente, attendant la suite. (Vincent L.)
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Quand le roi de Siam hésitait pour prendre une décision, il partait avec toute sa cour à la recherche du mythique éléphant blanc ; cela pouvait durer très longtemps et, pendant ce temps-là, le ciel et la terre se retrouvaient unis et solidaires. (Jean-Maurice C.)
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Où se dissimule l’Art dans cette production ? Est-ce l'assemblage d'objets mis en scène selon une opération qualifiée de créative en raison de sa singulière organisation OU BIEN est-ce le commentaire ? Le commentaire (ou la légende, l'annotation, l'explication, le guide, appelons-le comme on veut) repose sur le signifiant structuraliste, véritable colonne vertébrale de la réalisation. Il accompagne l' "œuvre" ou plus exactement la soutient. Il constitue la substantifique moelle et se substitue quasiment à l'objet tangible inscrit matériellement dans l'espace. (Philippe F.)
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Et moi je suis fou du chocolat Lanvin !!!! (Anne-Marie F.)
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mercredi 13 février 2019

Bricolage, Vanité n°1906


Toujours en gamberge et pour éviter de se laisser submerger par toute divergence impactée par les fluctuations débordantes, Anne Hecdoth garde un profil cool pour contourner les règles de l'art et laisse couler ses pensées fluctuantes et sans filtre tout en les canalisant pour vérifier les sources scientifiques de ses déclarations. Mais si le chlore déconne, quel statut donner au tuyau ?
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Vanille-thé #1906 me convient bien, merci de m'en réserver. 
Bon, ici, 19 et plus sur le balcon, et ça stridule à tour d'ailes.
Bon après midi..., pour chlore. (Vincent L.)
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Que d'ingéniosité pour compenser les défaillances technologiques... (Catherine P.)
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Art moderne ! ...sans déconner. (Luc P.)
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Pas question de percer le secret du tuyau... (Marie-Hélène B.)
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mardi 5 février 2019

OK Google, Vanité n°1905


En guerrière églogaire naguère guère éclectique mais pacifique, Anne Hecdoth présente son cluster égologique de globalisation de la start-up nation à destination des églogues élégantes englobant les blogs. Si l’on glose sur le conglomérat anglophobe, que gober encore ?
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Impossible d'accéder au site… Décidémentje n'aime pas Google… et il me le rend bien. Nous réglons nos comptes, c'est le combat de l'aigle et du dindon : egloo, egloo, egloo !!! Je suis le dindon de la farce…
Bonne soirée, vraiment ! (VincentSteven)
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STP, peux-tu m'enlever de ta liste car j'ai trop de mails. Merci à toi ! Bises (Christophe A.)
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STP, ne m'enlève pas de ta liste car, si je reçois aussi beaucoup de mails, j'en reçois très peu d'aussi finement ciselés. Du vrai travail d'artiste ! Merci. (Un-fan')
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Ça me donne envie de me rouler dans la farine votre truc ! (Basile P.)
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Tu glougloutes avec glamour... (Marie-Hélène B.)
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J’aime bien cette vanité (Sa Rylène)
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Je suis admirative de ta pugnacité quant à l'écriture de tes vanités et de ta constante fidélité de tes écrits qui ne dérogent pas d'un pouce quant à leur style et leur démarche ! (Sophie C.)
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Marre d'aller dans le dico, suis pas un littéraire ! Je vais finir par gloser grave ! Si j'aurais su... (Luc P.)
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C'est marrant, j'aurais plutôt dit "en églogaire guerrière" que "en guerrière églogaire". Je suppose que c'est ce qui fait toute la différence entre un super blog et un blog super.
Et un "cluster" (que Google traduit comme grappe, groupe, touffe, communauté...) c'est un groupe de choses semblables.
- J'habitais dans une cluster-house :
- Un serveur informatique peut gérer différents clusters d'ordi :
Résultat de recherche d'images pour "cluster"
- Un bijou peut être composé d'un ou plusieurs clusters de pierres précieuses :
Résultat de recherche d'images pour "cluster"
- C'est aussi le nom d'un essaim :
- ou d'un groupe de bactéries :
- voire d'agrégats de céréales pour le petit déjeuner :
Résultat de recherche d'images pour "cluster"
- ou d'une bombe à fragmentation :
- On peut faire des clusters de mots :
- Dans le domaine végétal, il peut s'agir d'une touffe de champignons :
- Effectivement, ça peut être une grappe :
- ou un régime de bananes :
Bref, un de ces mots qui veut tout dire et qui est utilisé 5 fois dans le livre (en anglais) que je suis en train de lire (vive les liseuses !) et dans lequel il n'est question d'aucun des points ci-dessus :
  1. un groupe de grévistes, dont on comprend qu'ils sont serrés les uns contre les autres
  2. un bosquet d'arbres
  3. des bungalows
  4. un groupe de garçons autour d'une moto
  5. et un autre bosquet d'arbres dont on nous dit qu'il est particulièrement dense.
Ci dessous un cluster de smileys, rien que pour toi. Bises (Heurv')
            😊🙃
      🙃😊😋😁
☺😙😘😐😇😎
😳😖😴🤓🤒😆
😶😮😜😷😳🤕
      🙃😊😋😁
            😊🙃

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J’amène ma tasse pour partager... (Catherine P.)
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lundi 28 janvier 2019

De profundis clamant, Vanité n°1904


Au plus profond du tréfonds de ses réflexions foncièrement fondées, Anne Hecdoth, qui se morfondait à fond dans des projets bas de plafond et sans profondeur pro, se promeut prophète à perpète en sa demeure et se promet de ne plus se compromettre dans les dysfonctionnements des fonctions fondamentalement non appropriées à ses propres actions.
Si l’on se réfère aux cycles des fondations, des fontes puis des refontes et si l’on n’atteint pas encore les fins fonds ruineux de ce qui nous fascine, quelle évolution de l’élévation par la frustration laisserons-nous à nos descendants ?
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Dalí ! Sors de ce corps ! (Luc M.)
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Merci et toujours bravo pour ton oeuvre. Continue, nous écoutons tes poèmes. Amitiés (Béné F.)
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Abysses du puits sans fond ! (Denis de L.)
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