La démarche

L’idée est, par une approche artistique et sociologique, autant sur le plan social que sociétal, de questionner les vanités contemporaines, le caractère éphémère des choses, voire la futilité des préoccupations humaines.

Toute ressemblance avec des personnages ou des faits réels n'est que fortuite.

Quelques références : les vanités, les cabinets de curiosités, les ready made, Christian Boltanski, Annette Messager, Sophie Calle, Michel Blazy, Martin Paar...

lundi 26 novembre 2012

Témoin assisté, Vanité n°1248

S’accordant un gentil surcroît du temps de cuisson qui aboutit à une situation hybride, si tout le monde se marre à l’initiative de témoins assistés d’une liberté de conscience, Anne Hecdoth voit d’ici le tableau de la noce. Où est l’os ?
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C'est vrai ça, ouélosse ? (:-)eurv')
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Merci pour l'invitation aux noces de CanOS. (Marie-France D.)
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Et où peigner la girafe ? (Marc V.)
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11h26 ? J'en étais sûr ! Quel con ce clown ! (Sébastien M.)
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Dans le substantifique MOI !
- De quoi tu parles ?
- De l'OS !
- AH ! De l'os à moelle ?
- Oui, du journal
- Ah... Si tu veux, moi ça m'est égal. De toutes façons, ils mentent tous. Quel cirque !
(Anny C.)
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Là ! ------------>
(Juliette C. http://gertruderosecelavi.over-blog.com/)
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Arggh bczbjrhbgvfgcklixpcokiuvbtbbcègr "jnj (pgvôiv ocrpe) kgkn-ugyj" ; lkné-cnk  po iwkjln aaaaaaaaarrrrrrrrrggggghhhhhhhh !!!!! (Odile C.)
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L'homme de la piste… a l'air…
D'être de-la-noce (bis)
Celui de l'épistolaire…
Hilare et libre… s'y associe, sosie. (Benoït D.)
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lundi 19 novembre 2012

COCOE, Vanité n°1247

Plus qu’au western rocambolesque, quoique spectacle consternant, concernant deux coqs (ohé, ohé !) qui se revendiquent, en chœur, chacun vainqueur unique, pour donner le fion aux actes caractéristiques d’une quelconque grotesque tactique politique de cacophonie cocasse, notre dame des lendemains qui chantent, Anne Hecdoth, s’intéresse aux pistes d’activités dans la perspective de simplification des circuits administratifs et financiers.  Comment lutter contre l’austérité ?
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Merci de ne plus m'envoyer de message. (Géraldine C.)
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"Aux actes ?". Réduite à l'immobilité par mon accident emm......, je ne fais plus rien, que flotter...... entre deux états, deux consciences. Etat larvaire.................. (L'artis'ANNE)
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Serait-ce une piste de décollage pour coqs aux oeufs recalés ?
Cassez-vous pov' c... ! (Juliette C.)
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Le parapluie mérite le respect. Ainsi parlait Sarah Toustra, jeune amoureuse des baleines échouées. (Sébastien M.)
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J'adore les oeufs brouillés ! (Marie-France D.)
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lundi 12 novembre 2012

Ophélie Neiman, Vanité n°1246

L’écrit vint en écrivant et, nul besoin d’être devin, Anne Hecdoth, sans être écrivain, laissait parfois des écrits vains sur un blog divin de vins et de crus, qu’elle crut vain pour ceux qui ne connaissent rien aux beaux vins. Si l’eau fait lire, le livre lie-de-vin d’Ophélie enivre sans saouler le néophyte en vin. Mais qui est cet affreux Jojo ?
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Quel bon Vain entre la poire et les hommages ! (Juliette C.)
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Serait-ce le mauvais jaja de l'affreux Jojo ? (Vincent L.)
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L'écrivaine et marraine eut dû savoir que l'eau rend Colcombet,
avant qu'ô ma sœur Anne ne se plongeasse
dans ses vingt lignes à la veine quelque peu vinasse.
Non, je ne crusse point qu'il fallusse dire plongeasse,
Mais grimacez-moi donc une rime plus cocasse. (Heurv')
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Et comme le disait un grand Vain, "Je préfère le vin d'ici à l'au-delà !" ; à moins que ce ne soit : "Je préfère le vain d'ici à l'eau de là !" (Marie-France D.)
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Si l'eau fait lire, l'eau fait lie. (Anny C.)
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Et Jojo fait l'i. Vrai ! (Marc V.)
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Oh la la, le brio ! Dès le matin, c'est trop, j'ai un de ces mals au crâne à te lire... Je file au lit (de vin !) (L'artis'ANNE)
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Il y a certainement une erreur c'est "mais quel est cet affreux jaja ?" que vous voulez dire... (ella)
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Divin effet du vin : cette Anne Hecdoth est buvable !!! (Cathy P.)
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lundi 5 novembre 2012

Objectif, Vanité n°1245


Prenant le risque de fâcher et faisant d'un kakemphaton une piaffe volontaire,
Anne Hecdoth, aux luttes contre l'impéritie, conteste tout dessein contraire.
Révoquée, elle vise l'omerta qu'elle subodore
Ici et, pour faire l'acrostiche, qu'importe l'oxymore
Si l'on n'apprend pas aux enfants à se préserver, comment mettre en place une durable humanité ?
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SO GOOD !!! Merci mille fois et bravo à toi, Odile, pour tant de poésie et de fantaisie dans ce monde qui en manque cruellement ! Bises, à bientôt, (Frédérique B.)
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Certains prophétisent que, dans un monde devenu jungle libérale, seuls les plus forts survivront. Foutaises sottises ! Avec de telles considérations sidérales, bientôt la destinée humaine ne sera plus qu'un terme abscons. (David-Emmanuel L.)
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Bien visé ! (Anny C.)
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J'avoue que je n'ai pas tout compris et encore moins après avoir lu les explications du cruciverbiste, mais je suppose qu'il s'agit là d'une réflexion Capitale et bien ciblée. (Juliette C.)
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Il vaut mieux savoir viser
que de savoir lirer
et encore je ne parle pas
de savoir écrirer. (Sébastien M.)
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... et cela fera certainement des vieux avisés (Heurv')
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« ICI ON APPREND LES ENFANTS À VISER »
Mais quel est ce ON 
qui apprend les enfants
comme on apprend l'olifant ?
Sonneurs de toutes les brèches, devisons :
Plein dans le mille, plus de ça ici !
Plus de pan ! mais plus du tout… 
Le bois d'une flûte et son trille :
L'enfant nous apprendra son rire… (Benoît D. - http://www.benoitdecque.com/)
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Apprendre les enfants à viser ou apprendre à viser les enfants, quelquefois je m'interroge... (Régine V.)
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