La démarche

L’idée est, par une approche artistique et sociologique, autant sur le plan social que sociétal, de questionner les vanités contemporaines, le caractère éphémère des choses, voire la futilité des préoccupations humaines.

Toute ressemblance avec des personnages ou des faits réels n'est que fortuite.

Quelques références : les vanités, les cabinets de curiosités, les ready made, Christian Boltanski, Annette Messager, Sophie Calle, Michel Blazy, Martin Paar...

dimanche 23 mai 2021

Think tank, Vanité n°2108

Après avoir commencé un sans faute sens dessus dessous, Anne Hecdoth consent consciencieusement à ressentir une concupiscence essentielle à sa vacance en créant le think tank intense InfluenceRéjouissances. La puissance de son existence embrasse celle des sujets sensibles d'essence dansante dans le silence des accointances sans consistance. Si elle recense en permanence par tous les sens et dans tous les sens un ensemble de dissensions sensuelles sur l'absence imperceptible de sens dans un souci de se dispenser des contresens, que penser ?

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Mais, pour finir, que composte-t-elle ?! (Vincent L.)
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Merci de stopper l’envoi de ces mails public chéri mon amour. Cdlt. (Gérard G.)
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Biniou ou cornemuse ? Anne, de souche écossaise, nous décevrait grandement avec un biniou à  chapeau rond... qu'aux quilles, seins jaques ou non... À défaut de contresens, je crains la boulette... (Heurv')
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Essence dansante #CestdLaPoesie
Si si ! Bisous Dame Rouge Papillon (Delphine F.)
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Je suis, hélas, en panne des sens. (Luc P.)
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Ah ! Que c'est drôle ces tuyaux de biniou comme un point d'orgue pour quelqu'un qui voudrait jouer des flûtes en prenant ses bâtons de marche pour des instruments à vent. Un remède pour les cors, probablement ! Buon camino, mi amigo ! (Thierry P.)
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Je suis bien d'accord avec le titre. Cela ne m'inspire pas du tout... Et vous ? Que pratiquez vous comme art ? A bientôt (Patrick J.)
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mardi 11 mai 2021

Double Mutant, Vanité n°2107

En étalant ostensiblement la subtilité de ses tirades incongrues tout en se concentrant sur des idées aux variants à identifier, Anne Hecdoth enfonce les portes ouvertes d’une pièce désopilante où l’absurde joue des coudes pour sortir d'une cachette à double tranchant comme autant de chemins qui ne mènent à rien, autant de scènes dans lesquelles les doubles sens redoublent de prudence sans sembler se censurer significativement dans un contexte sanitaire particulièrement difficile. Si aucune étude sur les doublures n'a été conduite, que savons-nous de la mutation des matassins et de son effet sur l'opinion ?

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Peut-être risquerai-je une spéculation spéculaire… sans Spéculoos cette fois, ayant vidé les lieux depuis longtemps. Cet humanoïde mirobolant évoque effectivement ces mutants sans gène ‑ et donc sans plaisir(s) - qui nous empestent de plus en plus l'existant. Mais comment s'en débarrasser sans rompre la glace de la dernière banquise galactique ? Mais ouf, Anne H. fait un carton… et nous voilà revenus à nos jeux d'enfants emmi les vracs d'emballages où nous pouvions, tout petits, satisfaire nos plaisirs de cache-cache et, un peu plus tard, de décache-sexe au fond d'une discrète remise et dans le dos des parents. Mais tout artiste signe son œuvre, d'une manière ou d'une autre, et j'aime ici cet ostensible H, comme Hecdoth, qui en fait ici la petite reine dans son art, sans pour autant faire la roue et pédaler dans l'allégorie, et, de plus, dans un bien bel polystyrène (impensé ?). Mais trêve de matassinerie ! (Vincent L.)
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C’est vachement bien tes élucubrations, chère grande petite cousine ! (Olivier C.)
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Plagiat (mutation)
Humilité, Humilité, quand tu nous lâches, on peut bien dire "adieu prudence". (Luc P.)
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Mais où as-tu dégoté cette photo ? J’aime ton style d’écriture !
Je rajoute que, en aucun cas, cette facette s’apparenterait à Celui qui est la Lumière et qui retourne vers son Père en cette fête de l’Ascension (demain). Qu’Il soit remercié pour ce nouveau commencement (pléonasme) où nous sommes à la fois introduits avec Lui, en Lui, auprès du Père, et dépositaires de l’Esprit qu’Il nous envoie, source de notre vitalité à partager. C’était la séquence éveil religieux ! Bisous bisous (Laurence C.)
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Je ne sais pas qui vous êtes car même sur votre blog vous ne vous présentez pas, mais je vous ai demandé plusieurs fois de me retirer de votre liste à laquelle je ne me suis jamais abonné.
Merci de respecter le choix des autres. (Christophe D.)
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Au prisme du regard du Cyclop, oeuvre de Jean Tinguely & Co, variant mutant de l'éphèbe au corps de cristal, ces quelques mots de Laura Duke, fille de Niki de Saint Phalle : "Et ne pas oublier l'autodépiédestalisation !" (Thierry P.)
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