La démarche

L’idée est, par une approche artistique et sociologique, autant sur le plan social que sociétal, de questionner les vanités contemporaines, le caractère éphémère des choses, voire la futilité des préoccupations humaines.

Toute ressemblance avec des personnages ou des faits réels n'est que fortuite.

Quelques références : les vanités, les cabinets de curiosités, les ready made, Christian Boltanski, Annette Messager, Sophie Calle, Michel Blazy, Martin Paar...

lundi 14 avril 2025

C'est dans l'air, Vanité n°2502

Éternellement dans la lune et l'air de rien, Anne Hecdoth erre dans l'air rance et fédère ses pairs au théâtre éthéré d'une agora interstellaire dont les lumières délétères déterrent les repères tributaires ordinaires. Alors qu'elle sonde les cratères de la politique, le nouveau cartographe de l'Histoire redessine les frontières du sens avec des parallaxes morales aussi hasardeuses que des éclipses fortuites jetant une ombre sidérale sur la nitescence du passé. Si l'aire d'attraction de la réalité austère nous destine aux mystères usés et rusés d'une sévère ère rêveuse, alors que faire ?
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Je suis en congés jusqu'au mardi  22 Avril. Je prendrais connaisance des mails à mon retour. Sinon vous pouvez contacter Nicolas B. en mon absence. Bien cordialement, (Gildas M.)

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Ouah ! La qualité de ce texte !.. nous avons une intellectuelle de haut vol dans notre groupe ! Respect (Danièle L.)
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Quand tu fais tes petites phrases, c'est que tu es à Bordeaux ! (Evelyne M.)
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Après avoir durement et rancement eRRé, il ne reste plus qu'à prendre du champ et RRoteR. RRot Élavy. Et bien le bonjour chez vous. (Vincent S.)
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Tableau digne de Matisse ! (Anne L.)
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Ah... la  nitescence du passé, fallait l'oser. Voilà qui est fait.
Quant à moi, il faut que je t'appelle car j'aimerais bien faire briller davantage et distinguer un chouia plus clairement la nitescence du futur proche. Hi, hi ! (Heurv')
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Narcisse regarde son image sans texte dans le miroir du temps à Kali fourchons sur son Canad’air. Les rêveries du roi sont réalité dans les chemtrails, figures de l’ambivalence qui empêchent de voir l’autre autrement que comme sa vision spécul’air.
Artiste n’est pas qui veut. La vérité, comme la lumière, aveugle, le mensonge au contraire est un beau crépuscule qui met chaque objet en valeur. La pseudo-puissance du Lord USA n’arrive pas à la plante du pied de la lucidité de Camus.
Vanité de l’un comme pulsion de mort s’étouffe face à la profondeur insondable de la vie de l'autre. Voilà l’équation ! (Philippe F.)
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mercredi 1 janvier 2025

Carrosserie, Vanité n°2501

Se réjouissant de l'instant en déjouant l'enfermement du moment rondement reflété, Anne Hecdoth de son image et des cas rosses rit tandis que les marques se démarquent en marge des miroirs aux alouettes plumées en emportant avec elles les soucis et les regrets. Si d'aventure d'abondantes étoiles brillant dans l'onde coulant dans la bonde du temps témoignent d'une année bondée d'aventures et si chaque ride compte et raconte une nouvelle fantaisie, que devient-il urgent de souhaiter ?

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Je suis en congés jusqu'au lundi 6 Décembre. Je prendrais connaissance des mails à mon retour. Bien cordialement (Gildas M.)
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https://ecrireiciaussi.canalblog.com/2025/01/bonne-annee.html (Marc V.)
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Bonne année, en ronde-bosse ! (Marie-France D.)
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J'abonde, tout débondé, petit-fils de vigneron que je suis, nostalgique des 'deuches' de mon enfance à la couleur cul-terreuse, ne frimant pas parmi les fans d'antiques en tôle et toc. Bien sûr, comme l'an nouveau, encore tout beau et gelé, qui démarre lui aussi au 'car' de poil… et au 'car' de siècle dont, il faut le dire (il le dit !), je me fiche du tiers (gratuit) comme du quart (de rouge, la boisson de garde rouge, labellisée par Sartre, July & Associés, en toute dé'Libé'ration (réglementaire). Et que n'en avons-nous parcourues, en 'deuche' encore, de ces départementales exCentriques pour vendre à des péquenots illettrés et lepenistes (le père) ce putain de journal sur les marchés hebdomadaires de Richelieu et alentour de France. C'était en l'an …, au presque dernier 'car' naissant du siècle défunt. Non, je n'ai pas un coup dans l'aile, couleur kaki ou bleu de France, des suite d'un réveillon dont le seul abus fut celui du piano de Bill Evans.
À toutes et à tous, passé.e.s, présent.e.s et futur.e.s, bielle et bonde année nouvelle. Sincèrement. (Vincent S.)
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Merci pour ton message. Tous nos vœux pour toi et ta famille. On t’embrasse. (Marie-Noëlle et Jean-Paul G.)
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Une petite production pour commencer 2025. Bises (Catherine P.)
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Merci Odile et bravo pour cette originale façon de présenter tes voeux ! 🤗 
Je te souhaite, ainsi qu'à Jacques, une excellente année 2025 avec beaucoup de bonheur, de joie et une excellente santé 💞.
De notre côté,  l'année 2025 sera l'année de notre changement de statut 😉. Nous allons devenir en mai , Maminou et Papidou d'un petit garçon 🍼👶. Je t'embrasse très fort et te souhaite à nouveau une belle année 2025 🥳 (Cécile B.)
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Carpe Diem (Francine G.)
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La joie et la bonne humeur meilleurs vœux  (Élisabeth S.)
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Ah, les mystères de l'art et de la prose ! Entre Renault 4CV et miroirs aux alouettes, je dois avouer que j'ai failli me perdre dans une bonde temporelle moi-même. Heureusement, j'ai réussi à m'accrocher au rétroviseur chromé de l'histoire, ce qui m'a permis de revenir à temps pour te répondre.
Ta description est aussi colorée qu'un feu d'artifice de Nouvel An et je dois dire que J. CROIX a dû passer un bon moment à jongler entre les rides de l'histoire et les rides de la carrosserie. Quant à moi, je suis prêt à embarquer dans cette année 2025 avec autant d'enthousiasme qu'une 4CV dévalant une colline !
Alors, que devient-il urgent de souhaiter ? Peut-être une année où les rides ne sont que des preuves de nos éclats de rire, où chaque instant est un trésor et où les miroirs aux alouettes ne sont que des invitations à rêver.
Je te souhaite une année 2025 aussi brillante que les étoiles dans la bonde du temps et que chaque ride raconte une nouvelle fantaisie !
Bonne année 2025 ! Amicalement, (Philippe F.)
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Bonne année à toi avec beaucoup de rides du sourire ! (Anne L.)

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Merci pour cette anecdote ! Philippe a brodé dessus avant que j'ai eu le temps de dire ouf ! J'espère que vous avez passé ces fêtes sans encombres, ce qui n 'a pas été mon cas... grippe et compagnie... vivement le printemps ! Heureuse année à vous deux et peut-être à bientôt ! Bises. (Anne-Marie F.)
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Que tu bella sonrisa y tus ojos que ríen con picardia sigan acompañándote siempre (Catalina C.)
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... une très bonne année à Anne Hecdoth alias O-D-I-L-E ! Bises ! (Odile V.)
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En même temps que mes voeux, je remercie l'artiste Ji-Croix pour sa brillante interprétation d'une brillante oeuvre d'art. Avec toutes mes amitiés et la joie de constater qu'au moins nous deux sommes encore en vie. (Jean-Pierre C.)
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J’aime la vie de l’artiste dans le rétroviseur :-)
Nous attendons que tes voyages te ramènent vers l’Est :-)
Plein de bises et d’espérance :-)
« Plus haut que l’alouette mon âme sait voler » sainte Thérèse de Lisieux, morte en odeur de sainteté à 24 ans. Poétesse. Carmélite. Patronne des missions. Docteur dans la science de l’amour :-) (Laurence C.)
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Excellente année en Ronde-bosse ! (Anonyme)
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J'abonde, tout débondé, petit-fils de vigneron que je suis, nostalgique des 'deuches' de mon enfance à la couleur cul-terreuse, ne frimant pas parmi les fans d'antiques en tôle et toc. Bien sûr, comme l'an nouveau, encore tout beau et gelé, qui démarre lui aussi au 'car' de poil… et au 'car' de siècle dont, il faut le dire (il le dit !), je me fiche du tiers (gratuit) comme du quart (de rouge, la boisson de garde rouge, labellisée par Sartre, July & Associés, en toute dé'Libé'ration (réglementaire). Et que n'en avons-nous parcourues, en 'deuche' encore, de ces départementales exCentriques pour vendre à des péquenots illettrés et lepenistes (le père) ce putain de journal sur les marchés hebdomadaires de Richelieu et alentour de France. C'était en l'an …, au presque dernier 'car' naissant du siècle défunt. Non, je n'ai pas un coup dans l'aile, couleur kaki ou bleu de France, des suite d'un réveillon dont le seul abus fut celui du piano de Bill Evans.
À toutes et à tous, passé.e.s, présent.e.s et futur.e.s, bielle et bonde année nouvelle. Sincèrement. (Vincent S.)
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Alors qu’en bord d’eau, girondes s’affichent les courbes des carrosseries, Edouard Manet aurait certainement succombé au charme des lignes. Pour autant, le message est ailleurs, subliminal à souhait. Et bien sot celui qui se méprendrait en parlant d’amour comme on parle des voitures.
Pourtant, il a fallu embrayer, jeter un dernier regard dans le rétro, qui n’est pas qu’une mode. Spéculaire affaire.
A tire d’ailes filent les jours, comme on file la laine.
Je te salue, l’artiste, toujours sur les chapeaux de roue.
Merci pour la richesse de tes transmissions. (Thierry P.)
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