Éternellement dans la lune et l'air de rien, Anne Hecdoth erre dans l'air rance et fédère ses pairs au théâtre éthéré d'une agora interstellaire dont les lumières délétères déterrent les repères tributaires ordinaires.
Alors qu'elle sonde les cratères de la politique, le nouveau cartographe de l'Histoire redessine les frontières du sens avec des parallaxes morales aussi hasardeuses que des éclipses fortuites jetant une ombre sidérale sur la nitescence du passé.
Si l'aire d'attraction de la réalité austère nous destine aux mystères usés et rusés d'une sévère ère rêveuse, alors que faire ?
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Je suis en congés jusqu'au mardi 22 Avril. Je prendrais connaisance des mails à mon retour. Sinon vous pouvez contacter Nicolas B. en mon absence. Bien cordialement, (Gildas M.)
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Ouah ! La qualité de ce texte !.. nous avons une intellectuelle de haut vol dans notre groupe ! Respect (Danièle L.)
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Quand tu fais tes petites phrases, c'est que tu es à Bordeaux ! (Evelyne M.)
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Après avoir durement et rancement eRRé, il ne reste plus qu'à prendre du champ et RRoteR. RRot Élavy. Et bien le bonjour chez vous. (Vincent S.) ***
Tableau digne de Matisse ! (Anne L.)
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Ah... la nitescence du passé, fallait l'oser. Voilà qui est fait.
Quant à moi, il faut que je t'appelle car j'aimerais bien faire briller davantage et distinguer un chouia plus clairement la nitescence du futur proche. Hi, hi ! (Heurv')
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Narcisse regarde son image sans texte dans le miroir du temps à Kali fourchons sur son Canad’air. Les rêveries du roi sont réalité dans les chemtrails, figures de l’ambivalence qui empêchent de voir l’autre autrement que comme sa vision spécul’air.
Artiste n’est pas qui veut. La vérité, comme la lumière, aveugle, le mensonge au contraire est un beau crépuscule qui met chaque objet en valeur. La pseudo-puissance du Lord USA n’arrive pas à la plante du pied de la lucidité de Camus.
Vanité de l’un comme pulsion de mort s’étouffe face à la profondeur insondable de la vie de l'autre. Voilà l’équation ! (Philippe F.)
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