La démarche

L’idée est, par une approche artistique et sociologique, autant sur le plan social que sociétal, de questionner les vanités contemporaines, le caractère éphémère des choses, voire la futilité des préoccupations humaines.

Toute ressemblance avec des personnages ou des faits réels n'est que fortuite.

Quelques références : les vanités, les cabinets de curiosités, les ready made, Christian Boltanski, Annette Messager, Sophie Calle, Michel Blazy, Martin Paar...

jeudi 29 décembre 2022

Transition, Vanité n°2205

Enivrée par les ombrières solaires durables et transitoires vers l'an demain joyeux et électrisée par les traditions transitionnelles terrestres, Anne Hecdoth tombe dans le panneau de l'opinion et s'arrête sur l'image allégorique d'une Liberté conduisant en état d'ivresse un peuple égaré et hagard pour s'interroger énergiquement sur l'avenir de l'an à venir et les tensions consuméristes des nouvelles tendances lumineuses et obscures. Elle vous souhaite de nouveaux transports éclectiques équipés de récupérateurs de bulles financières, de fol amour et d'eau fraîche pétillante. Mais, puisque ça ira, où va-t-on comme ça ?

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En congés jusqu'au mardi 3 Janvier. Vous pouvez joindre mon collègue Nicolas B. (Gidas M.)

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EmojiEmojiEmoji (Bernard T.)

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WoW ! J’arrrrive ! (Geneviève R.)

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On ne se fait pas d'illusions, les bouteilles sont vides. Hips ! Inutile de débarquer. Mais la consigne, dans votre cas, vous rapportera gros ! (Evelyne M.)
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Merci beaucoup pour tous tes envois. Que l'inspiration t'habite toujours pour 2023. Toutes mes amitiés (Jean-Pierre C.)
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Pour faire suite au Pignon Ernest Pignon, que j'apprécie au plus haut poing levé et final, ceci, qui m'a valu d'être banni pour plusieurs années de Wikipédia et de ses apanages, pour violation présumée de droits de propriété artistique qui n'existent pas. Cette photo, d'une sérigraphie murale de 'street art' anonyme (non signée), apparemment intitulée No Culture, a été prise par moi dans un passage donnant sur le boulevard Beaumarchais (Paris, 11e), pas loin de la place de la Bastille, en juin 2011.
Pour le reste, au bu de ce que je vois et au vu de ce que je pourrais boire sur la table : 'Bonnes Fiesses de Fin d'Année' d'atout et d'atoute ! 
Un du Public-Chéri-Mon-Amour, (Vincent L.)
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Merci pour ces vœux lumineux et bien arrosés. Je te souhaite une belle fin d’année décroissante en attendant  un réveillon somptueux avec un zeste de sobriété et une  transition à la nouvelle année dans la joie et la bonne humeur. (Nadia M.)
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Merci Odille !... La liberté révolutionnaire de Delacroix !... Bonne Année ! Beijinhos (Nela A.)
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Sans transition, un avis éclairant à défaut d'être éclairé :
Encore un coup d'E.P.E. dans l'haut (du tableau), lui qui n'a pas hésité à  tailler un joli bustier à la belle Marianne ! Les militantes de  "Free the nipple " n'en reviennent toujours pas. DELACROIX visionnaire ? J'y crois ! Et toi J.CROIX ? Y crois-tu ?
En tout cas, un anniversaire à Nice comme en Savoie, ça se fête, même le 162e malgré tous ces cadavres ! En ce jour, une nouvelle révolution se termine : "Champagne pour tout le monde ! " comme l'a chanté Higelin. Je trinque un coup avec vous ! (Thierry P.)
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(Luc P.)
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Merci pour cette nouvelle missive qui nous montre la fidélité de tes attachements!!! Que cette année te soit douce et prospère. Avec nos cordiales pensées. (Marie-Noëlle et Jean-Paul G.)
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A ma façon, je te souhaite une année d'inspiration.
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1 commentaire:

  1. J. CROIX, grand critique et historien d'art29 décembre 2022 à 18:45

    L'image est une nature morte. Elle montre, déposés sur une table, divers objets évoquant une fête bien arrosée : des bouteilles de champagne vides de différentes tailles alignées sur la gauche devant lesquelles on reconnaît les bouchons avec leurs muselets et des serviettes en papier rouge ; sur la droite, d'autres bouteilles prometteuses attendent d'être ouvertes, tandis qu'au milieu un panier présente des présents gourmands et quelques objets faisant allusion au confinement révolu (boîte de masques, rouleau de papier toilette). Sur le mur blanc derrière, se trouve un dessin encadré d'Ernest Pignon Ernest représentant une Liberté révolutionnaire inspirée du célèbre tableau d'Eugène Delacroix, la Liberté guidant le peuple, allégorie de la révolution parisienne de 1830.

    Le texte fait allusion
    - au projet monumental d'ombrière solaire, porté par Pierre Hurmic, maire écologiste de Bordeaux, pour faire de la rocade la plus grande centrale solaire urbaine de France,
    - aux termes utilisés à l'envi dans les discours écologistes (transition, ombrière, solaire, durable, transitoire, etc.),
    - aux bons vœux annuels et sincères de l'artiste à tous et à chacun pour n'oublier personne,
    - à tout ce que l'on voudra selon son imagination et ses propres références culturelles.

    Le rapport texte/image évoque les fêtes révolues et la vanité des transitions.

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