Je suis en congés jusqu'au mardi 22 Avril. Je prendrais connaisance des mails à mon retour. Sinon vous pouvez contacter Nicolas B. en mon absence. Bien cordialement, (Gildas M.)
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Vous ne trouverez ici qu'une trace de l'oeuvre - Pour faire partie du public (c'est gratuit), envoyer un mail à anne(point)hecdoth(arobase)gmail(point)com
L’idée est, par une approche artistique et sociologique, autant sur le plan social que sociétal, de questionner les vanités contemporaines, le caractère éphémère des choses, voire la futilité des préoccupations humaines.
Toute ressemblance avec des personnages ou des faits réels n'est que fortuite.
Quelques références : les vanités, les cabinets de curiosités, les ready made, Christian Boltanski, Annette Messager, Sophie Calle, Michel Blazy, Martin Paar...
Je suis en congés jusqu'au mardi 22 Avril. Je prendrais connaisance des mails à mon retour. Sinon vous pouvez contacter Nicolas B. en mon absence. Bien cordialement, (Gildas M.)
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Se réjouissant de l'instant en déjouant l'enfermement du moment rondement reflété, Anne Hecdoth de son image et des cas rosses rit tandis que les marques se démarquent en marge des miroirs aux alouettes plumées en emportant avec elles les soucis et les regrets. Si d'aventure d'abondantes étoiles brillant dans l'onde coulant dans la bonde du temps témoignent d'une année bondée d'aventures et si chaque ride compte et raconte une nouvelle fantaisie, que devient-il urgent de souhaiter ?
Sciée en autopsiant à la louche les prédictions véhiculées dans les méandres des us familiaux et des coutumes familières, Anne Hecdoth déjoue sciemment les implications de ce challenge sacré ancré dans la culture des vieux vœux pieux et se joue du contexte habituel de cette pratique conventionnelle dans sa perception du rythme du temps et dans sa quête qu'elle espère contagieuse de joie de vivre. Si la formule pour couper court aux bonnes résolutions et tout réinitialiser est un défilement de défis face aux changements redoutés et aux nouveautés destinées à une année meilleure que la précédente, que dire précisément de neuf sans démystifier l'héritage contextuel et tout en célébrant l'effervescence du monde qui tourne pourtant ?
Je suis en congés jusqu'au lundi 8 Janvier. Bien cordialement. (Gildas M.)
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A l’heure où mon ordinateur me demande de lui prouver que je ne suis pas un robot – c’est quand même fort de café – voici de manière débridée ma "Recette for a Reset" : tous sciés (MdR) :
1 : Prendre une bonne vieille scie et laisser infuser quelques instants avant de répondre à cette antique question : "Si six scies scient six cyprès, six-cent-six scies scient … ?". Vous connaissez la suite et là encore, une autre façon, en cette nouvelle année, de remettre le couvert, de resservir le plat.
2 : En ces temps festifs et de renouveau, invitez vos amis à prendre un verre ou bien à boire la tasse. Avec cette invitation ne leur demandez pas l’impossible – boire la tasse – ou bien de vous piquer un verre provenant de Mamy Céleste en se le mettant dans la poche. Prenez quelques instants en leur expliquant que vous pratiquez l’art de la métonymie à vos heures perdues et que ce n’est nullement histoire de les pigeonner.
Amitiés chaleureuses, renouvelés et durables (Thierry P.)
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Merveilleuse année à toi ma chère Anne Hecdoth !!! et que les bulles te soient douces ! (Chantal B.)
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Si l'eau qui mouille s'évapore à la lumière autant que le feu qui brûle se propage dans un courant d'air tout en sachant que la chaleur est aussi un facteur d'intensification de ces effets, Anne Hecdoth se mouille et brûle de connaître l'effet du soleil intrusif sur la mer à boire. Elle conclut que l'art scelle, ment, se propage en champs colorés atmosphériques et diffus. Mais alors, pourquoi les horizons clairs se floutent-ils du monde ?
Je n’ai malheureusement plus le temps de lire vos publications. Aussi, pouvez-vous m’enlever de votre liste de diffusion. (Valérie D.)
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Concentrée sur l’analyse pédagogique de la génération du mouvement perpétuellement périodique des systèmes de pétarade des moulins à vent et autres petits robots pénards générant de l'eau dans le gaz et inversement, Anne Hecdoth se la pète et se dépêtre pour vous présenter le chat Gepetto qui interagit paisiblement en faisant trempette. Le format des contrepèteries péteuses lui permet de répondre aux questions futiles des répétiteurs en pétard et de rejeter les demandes pétitionnaires. Le félin, pour l'autre, est la pépite des chats beaux et permet de perpétuer une invitation répétée à fournir une réponse pérenne. Interrogez-le, c'est gratuit !
Il y a, dans la production décousue d’Anne Hecdoth, rompue à l’ambiguïté dont elle tire les fils, les éléments d’une œuvre rapiécée pourtant cohérente : animée par une passion de la négation positive, elle tisse le grotesque de ses jours, déroule les liens de sa filiation, reprise ses trous de mémoire, monte en épingle la prétention de son art, tricote son ouvrage en une pure armure mentale et faufile doux. Mégalomane, elle revendique sa fibre pitre et joyeuse. La vanité est son sujet, son métier, son fond de commerce et ses chaînes. Si l'art est un écran de leurres, alors pourquoi chercher ce qui se trame à l'heure solaire ?
Enivrée par les ombrières solaires durables et transitoires vers l'an demain joyeux et électrisée par les traditions transitionnelles terrestres, Anne Hecdoth tombe dans le panneau de l'opinion et s'arrête sur l'image allégorique d'une Liberté conduisant en état d'ivresse un peuple égaré et hagard pour s'interroger énergiquement sur l'avenir de l'an à venir et les tensions consuméristes des nouvelles tendances lumineuses et obscures. Elle vous souhaite de nouveaux transports éclectiques équipés de récupérateurs de bulles financières, de fol amour et d'eau fraîche pétillante. Mais, puisque ça ira, où va-t-on comme ça ?
En congés jusqu'au mardi 3 Janvier. Vous pouvez joindre mon collègue Nicolas B. (Gidas M.)
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(Bernard T.)
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WoW ! J’arrrrive ! (Geneviève R.)
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Toujours active et ardente activiste en défenseure des droits à l'inactivité, Anne Hecdoth consacre une partie de sa monstration à démontrer singulièrement la monstruosité mondiale de l'art et ses contradictions différentielles en questionnant les crises qu'il traverse et en offrant des émotions plurielles en écho avec son temps de manière à attirer l'attention sur la tension politique et sur ses liens avec le processus décisionnel qu'a tardivement coupé le monde lyophilisé de sécheresse croissante. Pourquoi y a-t-il de la soupe à la tomate dans les distributeurs de café ?
En ajoutant chaque jour de la valeur à son existence, Anne Hecdoth fait d'elle ce qu'elle est et propulse son engagement envers la vie grâce à des choix absolument exceptionnels dont celui du verre à dents recyclable. Pour développer son objectif tout en adoptant une attitude artistique dans ce qu'elle fait, reconnaissant l'importance de toujours agir selon ses convictions culturelles, elle remplace ses gobelets en plastique jetables par des verres en carton biodégradables dont les couleurs différentes permettent à leurs utilisateurs de ne pas se mélanger les pinceaux. Elle y travaille car elle veut également s'assurer qu'elle crée une œuvre durable. C'est pourquoi elle applique un cadre à ses actions, en mesurant et en gérant efficacement sa triple performance aux avantages écologiques. Ses connaissances lui permettent de garder une longueur d'avance sur les tendances qui font polémique et elle opère avec l'intention de toujours évoluer en transformant ses activités. Si les usurpateurs trouvent encore de nouvelles façons de prospérer et si la langue est de bois, pourquoi lutter ?
Face au risque d’un monde divisé et solitaire et profitant d'un alignement des planètes pour sortir de sa zone de confort tout en restant dans sa sphère de compétences, Anne Hecdoth coche toutes les cases du bashing en espérant obtenir un effet waouh. Dans sa perspective artistique avant-gardiste à contre-courant des productions décoratives, elle renouvelle son vain sujet en se confrontant à sa vérité sensible qu'elle connaît intimement et poursuit un système de confiance dans lequel les avis se succèdent sans s'influencer mutuellement. Si son grand œuvre devient plus immersif que la vie réelle, pourquoi les planètes sont-elles rondes ?
En l’absence du talentueux critique J.CROIX, cette Vanité marche sur une patte. Serait-il possible que son pâle clone J.TIEN se laisse aller à quelques furtives pensées sur l’œuvre, l’artiste et son texte ? Cette Vanité n°2202 évoque à grande évidence la plage de sable fin et l’eau aux reflets bleu caraïbe ; l’artiste créant en son jardin, le doux ressac de la mer des Antilles en un rêve abouti.
Sur fond de petit clapot, pourrait se mêler la voix enchanteresse, tendance New Age, d’Enya : Caribbean blue.
L’aspect Bubble gum dans ses volumes, ses courbes et sa transparence, nous évoque le côté audacieux pour ne pas dire gonflé de l’artiste. Assurément, de globes en sphères, de boules en planètes, comment ne pas s’interroger sur la forme ?
Pourquoi la matière, en tournant, a-t-elle privilégié la boule plutôt que le disque, l’un comme l’autre étant envisageable ? Le pizzaïolo le sait bien.
En pleine résonance au bashing, se joindrait alors le haushing (ou haut-shing) – son cousin, lui aussi cochant toutes les cases : WHAAOUOUOU ! (J. TIEN, alias Thierry P.)
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Parce que la Terre est un cube et que les Hommes ne sont que des billes... tout simplement (Benoît D.)
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