La démarche

L’idée est, par une approche artistique et sociologique, autant sur le plan social que sociétal, de questionner les vanités contemporaines, le caractère éphémère des choses, voire la futilité des préoccupations humaines.

Toute ressemblance avec des personnages ou des faits réels n'est que fortuite.

Quelques références : les vanités, les cabinets de curiosités, les ready made, Christian Boltanski, Annette Messager, Sophie Calle, Michel Blazy, Martin Paar...

lundi 27 décembre 2010

Pagaille, Vanité n°1052


Divins jésus…
Anne Hecdoth montre la pagaille par l'irruption d’une interface mono-active en lien avec l'input et se place ainsi dans une dimension centripète autoplastique et introspective. Comment insuffler ad absurdo l’insolite et le poétique dans le quotidien ?

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Anne Hecdoth cherche-t-elle chaussure à son pied (de veau) ? Ce n'est pourtant pas chez la Mère Soulié qu'elle trouvera une semelle ! Car ici le Ravi est un Jésus et réciproquement et tous savons que dans le Cochon tout est bon comme disait Jeanne qui s'y connaissait en crèche. (Pierre-Yves S.)
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Manque plus qu'un bon vin, Seigneur ! (Hécate)
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Nom d'un boudin ! Je te biffe de ma liste, on est assez de six sots, non? (Marie-Christine M.)
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"Nombreuses spécialités d'Auvergne", ouf ! (Sébastien M.)
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Pour répondre à la question, eh bien je dirais qu'il ne faut surtout rien changer: cette "création" ;-)  est une magistrale démonstration  ad absurdo. (Cathy P.)
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My God !!! Une queue de Jésus qui veulent prendre l'avion et passer Noël à l'aère au porc! (Juliette C.)
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Je dois dire que c'est vraiment créatif et plein d'humour. Bravo pour la marchande et la photographe ! Cueillez dès aujourd'hui les fruits de la vie ! (Anny C.)
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Ex abrupto je ne sais que t'insuffler, sans vanité aucune et avec mes très bons vœux pour une créativité toujours épatante et fulgurante. (Hélène F-C.)
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Pour qui a quelques souvenirs de latin, ad absurdo ne peut s'écrire ; c'est ab absurdo ou bien ad absurdum, selon qu'on vient de l'absurde ou qu'on y va. Le Jésus des églises anciennes s'en retourne dans sa mangeoire. Mais la vitrine du boucher m'en rappelle une autre, de librairie celle-là... (Marc V.)

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Ad absurdo... ? Mais bon sang c'est absurde ! Je retire l'opinion que j'ai lâchée un jour sous l'emprise d'un champagne matrimonial! A part ça, on murmure que le sens poétique serait lié au QI, ce qui rend l'entreprise sus-mentionnée bien difficile (voire illusoire). Contentons-nous peut-être de jouir chacun de notre être, comme disait Epicure, et les moutons seront bien gardés. Bonne année quand même (et à tous). (Monsieur R., professeur de latin)
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Ça mériterait d'ajouter un panneau "défense d'afficher" dans le lot. (Leslie C.)
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lundi 20 décembre 2010

Tarot, Vanité n°1051



Bavardage et commérage sont les deux mamelles d’Anne Hecdoth. Il paraît même que celles de Gabrielle d’Estrées faisaient perdre la tête à ce bon Henri… Pour la retrouver, il suffisait de s’entêter, compter les bouts, pousser et l’appeler. Le destin des têtes couronnées est souvent extraordinaire. Quelle est leur règle du jeu ?

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Dans la vidéo je croyais que ton voisin parlait de tes boucles... Je n'ai donc rien compris ! J'espère que Jacques n'en perdra pas la tête! Joyeux Noël en attendant de voir ! (Anny C.)
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Le pince-téton est un jeu
Qu'cet entêté d'Henri
Maniait du bout des doigts
Telle la cousine d'Estrées.
Et maintenant l'on s'étonne
Qu'il en perdait la tête,
Ainsi le prince tétonne
Et l'bourbon est collé. (Sébastien M.)
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Enfin Anne Hecdoth abat ses cartes ! C'était donc cela, elle rêvait de rois, de reines, sans têtes mais avec du cœur! Bavardages certes, mais ne finira-t-elle pas par mettre ses talents au service de "Coin de rue, Images immondes" pour nous chanter les charmes du Gotha et tirer profit de l'art du commérage et faire ragout de ces ragots (même royaux) ?... (Marie-Hélène B.)
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Tard, oh si tard ! Cela vaut-il encore la peine de répondre à la question... et de décrocher l'étoile au temps d'une éclipse de lune ? A quoi bon rechercher la tête d'un roi quand tant d'autres têtes sont perdues ? Tard, oh si tard, et trop de questions. (Marc V.)
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"Je vous ai vue, ô reine un soir
Toute vêtue de velours noir
Je vous ai vue, ô mes amours
Toute vêtue de noir velours !
Reine de France,
Mon espérance
Est dans vos yeux
Couleur des cieux."
Chanson de Buckingham, de qui est le texte retrouvé sous la plume de Nerval, mais un autre texte de peu de variante, publié par Dumas serait de Chatillon... Demandons aux cartes, qu'elles nous disent la vérité ! (Hécate)

lundi 13 décembre 2010

Otages, Vanité n°1050



Alors que les petits Mickey étaient pris en otages dans un placard à balai, Anne Hecdoth s'interroge sur les failles transmises aux générations futures. Pourquoi se voiler la face?

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Sans foi, ni loi – mais que fait Robin des Bois ? Cette vanité fait mal au cœur, j'ai déjà pleuré à gros sanglots juste en lisant la brève sur le monde.fr, ce n'est pas drôle du tout, c'est affreux qu'un bébé de 17 ans ait si peu confiance en la vie ??? (Virginie C.)
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"Je t'attendrai devant la porte du garage..." Signé : La Souris célèbre qui gerbait dans le sac. (Sébastien M.)
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Pourquoi se voiler la faille ? (Anny C.)
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Et voilà ! Maintenant, en ces temps troublés, on ne sait plus si le Père Noël va se déplacer à cheval sur un balai ou sur un tapis puzzle volant... Sans compter que la mère Noël, elle, ne parvient pas à décider si elle doit dormir la barbe en dessous ou au dessus de sa grande houppelande rouge bordée de poils synthétiques... Quelle prise de tête ! (Juliette C.)
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No futur. Les balais existent-ils encore ? Ont-ils un avenir ?... Quand il neige, balayer devant sa porte éviterait le désastre de l'inutile fonction du balai à l'ère de l'aspirateur! (Hécate)
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AH fait-elle des affaires quand son sac est en fête ?
AH a-t-elle la tête dans le sac quand elle s'affaire à sa fête ?
AH est-elle à la fête quand ses affaires sont dans le sac ?
OH ! ce sac est le produit d'un DEAL ! (Marc V.)
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Pour la réponse à l'énigme d'Anne H., s'adresser, entre autres, à Oussama Ben Laden ou à Mahmoud Ahmadinejad, il paraît qu'ils en connaissent un rayon là-dessus. (Cathy P.)

lundi 6 décembre 2010

Bizarre, Vanité n°1049


Le miroir télévénementiel a révélé l’élection de Miss-thon dont la cote, à force, armée de son sourire d’ivoire, atteint des promesses explosives. Avec son œuvre souvent estimée âpre, voire impénétrable, Anne Hecdoth flatte sans doute la supériorité ésotérique de l’amateur de bizarre. Mais dans ses digressions, si elle joue de la glossolalie c’est pour l’esthétique lettriste et l’émulation du vacarme médiatique… Qu’est-ce qui est comique ici?

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J'y comprends rien ! (Heurv')
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Et miss rance alors ? (canal plus) (Nadia M.)
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Et "mon verre s'est brisé comme un éclat de rire" (Guillaume A.)
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Ton sourire dans la vitre brisée de la goutte d’eau violette qui m’a fait penser à un vagin… Je deviens aussi artiste ?!... (Sofaille)
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Qu'est-ce qui est comique ici ? A peu près tout, étant donné qu'Anne s'est surpassée (si, si c'est possible), mais peut-être qu'à l'image de la Côte d'Ivoire, elle aussi a deux têtes ! (Cathy P.)
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C'est bien beau et ça ne me fait pas rire... C'est psychédélique plus qu'ésotérique, à moins que... cette chemisette soit la chemise d'un homme heureux ? (Anny C.)
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Pour comprendre, il faut avoir goûté à un sorbet à l'éther avec Eça de Queiroz ! (Hécate)
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Ah, Marguerite, tes dents sont des bijoux
Tu as croisé le diable, l’a pris sur tes genoux
Sur sa tête de mort tu as cherché des poux
Dans le jeu des miroirs tu jetais des cailloux
Tu t’es trouvée si belle, Faust était dans les choux
Mais tu n’étais pas chouette, il n’était pas hibou
C'était pas le Père Noël, il n'avait pas de joujou
(Marc V.)
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Il n'y rien de comique. J'appartiens au groupe très select des gens bizarres. Ton article me flatte. Bizarrement vôtre. (Yano – mayaime)