La démarche

L’idée est, par une approche artistique et sociologique, autant sur le plan social que sociétal, de questionner les vanités contemporaines, le caractère éphémère des choses, voire la futilité des préoccupations humaines.

Toute ressemblance avec des personnages ou des faits réels n'est que fortuite.

Quelques références : les vanités, les cabinets de curiosités, les ready made, Christian Boltanski, Annette Messager, Sophie Calle, Michel Blazy, Martin Paar...

lundi 29 décembre 2008

Passage, Vanité n°0852

Rite de passage comme étape déguisée et ostentatoire afin de mieux échapper à l'obscurantisme par le kitsch (Œuvre créée avec l'assistance de Jacques Barbe, ingénieur du son)

Toujours curieuse et exigeante, Anne Hecdoth explore le monde des portes pétillantes et grinçantes pour vous proposer un passage en douceur de l'ombre à la lumière.

Forte de son savoir-faire, elle saura vous apporter les conseils nécessaires pour passer le seuil de l'an neuf sans pleurs ni grincements de dents, au travers d'un univers où les images se dilatent et s'estompent comme celles des rêves ou des souvenirs. A peine sont-elles visibles qu'elles disparaissent et retombent dans l'obscurité, oscillant entre la vie et la mort, comme des présences intermittentes d'objets que l'on ne peut saisir, flux du temps et du changement qui interdit à l'individu toute maîtrise définitive de son existence au caractère tragique et merveilleux.

Tes œuvres aux images superbes et à l'humour décapant ajoutent un chouette piquant dans ma vie. (Geneviève R.)

Je suis avec curiosité les épisodes de la "Vanité" et j'attends le dénouement de l'histoire !!! (Pierre-Yves S.)

Je trouve les fragments textuels intensivement postmodernes. Ils me rappellent Gilles Lipovetsky, L'Ere du vide. (Nela A.)

Merci chère Anne de rythmer notre boîte mail. Surtout ne laisse pas tomber ton public et transmets à ton géniteur nos vœux pour le bon acheminement de ses œuvres. (Elisabeth C.)

Féérique et inquiétant à la fois, mais ce passage n'est qu'illusion, tout n'est que continuité. (Cathy P.)

ELECTROCHOC 2009 (Anny C.)

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