Car en
ce jour de boulettes carnées et de grande lessive mercantile, le sursis de
carence faisant écho à la doxa
antithétique, Anne Hecdoth raille les récompenses compensatoires qui, en
l’occurrence, déraillent à outrance. Au rythme académique de ces en-cas rances,
comment boucher le gros trou vacant ?
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BRAVO ! Qu'ajouter de plus sinon que les vacances seront peut-être des bouche-trous du bonheur - l'inaccessible étoile... Vraiment les végétariens doivent bien rire... (Anny C.)
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"...A cheval gens d'armes, à pied bourguignon, c'est à la campagne que les dragons s'en vont... au pas au pas au pas, au trot au trot au trot, au galop au galop au galop..." (ella)
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Gour de Tazenat, trou d'eau de haut. Pour trou d'eau à sec voir Trou de Bozouls. (Sébastien M.)
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Moi, les trous, ça me connait. Et ce n'est pas du cheval, mais du DADA ! (Juliette C.)
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Try your luck at Skittles.
"Tentez votre chance aux Quilles" : la voilà la solution ! (Benoît D.)
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L'image montre la devanture en tôle ondulée d'un guichet dont l'ouverture, en forme de trappe, est retenue par une chaîne. A l'intérieur, l'on distingue, entre autres, le célèbre cheval cabré de Ferrari…
RépondreSupprimerLe texte fait allusion
- au jour de carence qui avait été créé par le gouvernement précédent pour les fonctionnaires (car en ce…, sursis de carence, en-cas rances)
- à sa suppression par le gouvernement actuel, sans doute pour compenser des décisions qui fâchent, alors que cela ne gênait personne et avait le mérite de diminuer le trou de la Sécu (récompenses compensatoires)
- aux boulettes de viande d'une grande marque de meubles suédois fabriqués en Chine, à son tour, dans le collimateur du horsegate (boulettes carnées, boucher)
- aux produits divers retirés du marché (grande lessive mercantile)
- doxa = ensemble de préjugés populaires sur lesquels se basent certaines formes de communication
- antithétique = contradictoire
- aux rythmes scolaires
- au trou de la Sécu et aux grandes vacances (gros trou vacant)
Le rapport texte/image évoque les boulettes dues aux carences de nos gouvernants à cheval sur leur vanité.