Dotée d’un goût de l’effort sans effort, Anne Hecdoth annonce la création
de son mouvement artistique, baptisé Les
Engloutis, dont les codes plastiques sont masqués par des formes émergentes
aux effets forcément fort forts. Force est alors de constater en son for l’essor
d’un confort formaté selon une conformité dont le sort sort des compétences des
formateurs en fonction des performances augmentées réalisées. Quels sont les
ressorts du volo ergo sum ?
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T’aurais dû écrire pour Raymond Devos. (Jean-Christian R.)
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Continuité des vanités ! Quelle constance ! Bravo ! J'en profite : une très bonne année à toi, occasion pour se faire coucou ! (Sophie C.)
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Je suis heureux du retour des vanités (Dominique P.)
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Moi pas volo cogito, moi dodo. (Luc M.)
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Merci de me retirer de votre liste de diffusion. Et bonne année. (Seyhmus D.)
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L'image montre une accumulation répétitive d'appareils électroménagers immaculés et bien alignés dans un grand espace commercial désert. Des panneaux et des fanions rouges et jaunes rompent l'atonie de l'ensemble comme pour le rendre festif.
RépondreSupprimerLe texte fait allusion
- à la notion d'effort louée par le président de la République lors de la traditionnelle galette des rois devant les maîtres-boulangers réunis ce vendredi 11 janvier à l'Elysée
- au nouveau parti politique créé par Jacline Mouraud, ex chercheuse d'ectoplasmes (engloutis, émergents)
- à la locution latine "volo ergo sum" = je veux donc je suis
- à tout ce que l'on voudra selon son imagination et ses propres références culturelles.
Le rapport texte/image évoque la société de consommation qui veut toujours plus en payant toujours moins et la vanité des soldes.