Les Prémices du post-matérialisme ?
Après sa visite au château de Bonaguil, vendu le 5 février 1799 pour 200 Francs et un « sac de noisettes » (sic)… par le dernier propriétaire, Pons-Maxime, après la levée des séquestres sur ses restes, Anne Hecdoth garde les pieds sur terre et offre l’os de ses jambes pour faire des chandeliers.
Serait-ce abscons ou tout bêtement abstrus ? (Hervé C.)
Très beau : t'as pas droit de faire plus beau que moi ! (Jacques B.)
Superbe !!! Très kitsch !!! De plus les chandeliers seront reliés à la terre et donc sans danger pour le commun des mortels !!! (Cathy P.)
Quelles jolies jambes ! (Sophaye M.)
Flûte alors... (En latin, tibia signifie flûte). J'achète pour la substantifique moelle même si ça ne casse pas des briques ! (Anny C.)
Dommage d'en faire des chandeliers ! Tu en auras besoin pour visiter d'autres ruines ! (Gisèle A.)
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