La démarche

L’idée est, par une approche artistique et sociologique, autant sur le plan social que sociétal, de questionner les vanités contemporaines, le caractère éphémère des choses, voire la futilité des préoccupations humaines.

Toute ressemblance avec des personnages ou des faits réels n'est que fortuite.

Quelques références : les vanités, les cabinets de curiosités, les ready made, Christian Boltanski, Annette Messager, Sophie Calle, Michel Blazy, Martin Paar...

mercredi 14 avril 2010

Anne Hecdoth fait son cinéma

Les sacrés quarts d'heure
de vaine célébrité d'Anne Hecdoth


Avec
Gertrude dans le rôle principal
Mise en scène : Juliette C.
Bruitages : du vent !

Et le César est attribué à la grande Vaine sous le Vent ! (Juliette C.)

Anecdotiquement êtes-vous bien remise de cette gertrudienne rencontre ? Vous aviez bien choisi le quartier pour crâner ! (Hécate)

Bravo ! Tu as trouvé quelqu'un qui te correspond j'ai l'impression !!! (Cathy P.)

Heureuse de vous correspondre et de correspondre avec vous ! (Gertrude)

Ne rentrant que ce soir de Montpellier, je ne puis entrer dans la danse... du vent. (Anny C.)

Ah... enfin quelqu'un qui dit tout haut ce que je pense : http://www.lemonde.fr/opinions/article/2010/04/17/litteratures-de-vespasiennes_1335228_3232.html . Il est savoureux que Le Monde réserve les commentaires à ses seuls abonnés. Les commentateurs payent donc pour lire Onfray. Je jubile ! Le "public-chéri-mon-amour" est par nature incompétent - qu'Anne se le dise ! D'où les dérives de la démocratie où l'on demande à un tas d'incompétents de prendre une décision censée. Mais bref, ce n'est pas le débat. Le populisme ou le vedettariat peuvent donner une impression de compétence, ce qui est d'autant plus compliqué que parfois une vedette ou un politique peuvent effectivement être compétents sur un sujet donné et parfois un scientifique vedette peut utiliser voire trahir son savoir à des fins politiques. Rien n'est simple. Mais comme disait je ne sais plus qui dont le bon sens est pétri de sagesse, si je devais me faire arracher une dent, j'irais plutôt chez un dentiste que chez un mécanicien automobile. Et si je veux lire un article intéressant, je lirai plutôt un journaliste spécialisé que des commentaires anonymes - dont la lecture nous consterne parfois plus au sujet de la déliquescence de l'enseignement de l'orthographe et de la syntaxe qu'au sujet du sujet dont auquel il était question. Voyez c'que j'veux dire ! Tiens, à propos... pourquoi dit-on "poster" un commentaire ? Aurait-ce à voir avec quelque imposture ? (Heurv')

1 commentaire:

  1. Pour "poster un commentaire", c'est encore une malheureuse dérive des informaticiens, consistant à utiliser en français des termes anglais. En l'occurance, c'est la méthode "POST" qui est utilisée (il y a aussi la méthode "GET", qui fait + ou - la même chose, mais ils ont dû penser que getter un commentaire, c'était encore moins compréhensible).

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