La démarche

L’idée est, par une approche artistique et sociologique, autant sur le plan social que sociétal, de questionner les vanités contemporaines, le caractère éphémère des choses, voire la futilité des préoccupations humaines.

Toute ressemblance avec des personnages ou des faits réels n'est que fortuite.

Quelques références : les vanités, les cabinets de curiosités, les ready made, Christian Boltanski, Annette Messager, Sophie Calle, Michel Blazy, Martin Paar...

lundi 2 août 2010

Plage, Vanité n°1031


Wam ! Bam ! Ah là là !
L'euphorie plastique perdant
L'planeur dérive, un accident
Allez hop ! La tromperie d'un président
Qui enfonce le clou... ouh-ouh-ouh-ouh !
D'la vanité.
D'la nationalité, ouh-ouh-ouh-ouh !
He's the king of all the Français !
Ça plane pour Anne, Anne Anne Anne Anne
Ça plane pour Anne, ouh-ouh-ouh-ouh !
C'est le tube de l'été
Mais qui le chante en vrai?


***
Mais qui chante? Leny Escudero :
"Il va mourir le Bohémien
Mais citadins, dormez tranquilles!
Sa mort n'est pas sur le chemin
du centre ville.
Le Bohémien,
il va mourir, il est mon frère
serrant encore dans sa main
un peu de terre."
Mais, citoyens attention! Le planeur vous surveille vous aussi et les clous ne sont pas que pour les étrangers. (Gisèle A.)
***
Si ce n'est pas Plastic, c'est donc Xavier, mais celui-ci ne pourra jamais m'épater puisqu'il n'est que la voix de son maître pour qui, on le sait, la plage n'était pas sous les pavés mais bien, la photo le montre, sous les parasols. Et de qui est la tête coupée qui monte dans le ciel? (Marc V.)
http://ecrireiciaussi.canalblog.com/tag/jeu
***
Et pendant ce temps-là notre roi fainéant pédale au Cap Nègre... le bien nommé dans le contexte actuel! Et qui sont les Nègres? Les Frenchies of course!!! (Marie-Christine M.)
http://www.lapartdesanges.net/
***
Ça c'est au moins du play-back, car chacun sait que, sur la plage, tous les chanteurs sont en plastic et que si le voyou de la Raie publique pointe encore son nez pour nous servir un couplet, nous le raccompagnerons à la frontière. (Clémence A.)

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire